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La bokor
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Faceclaim : Twinny + Lupita Nyong'o
Age : 103
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Storm on New-Orleans
Katrina is back ?
Are we safe ?
Le groupe décide d'accompagner la nouvelle venue, Solveig, jusqu'à l'accueil du refuge pour vérifier le registre. Elles sont très bien accueillies par les personnes en poste, et après vérification, elles apprennent que non, pas d'Alix Grant parmi les réfugiés du gymnase... Où est-elle ? Personne ne le sait.
Les quatre femmes retournent vers les lits qui leur ont été attribués en silence, aucun n'osant prendre la parole pour le coup. Elles s'installent tranquillement avant que la conversation ne redémarre doucement. Il faut bien passer le temps, se changer les idées, ne pas penser au pire, à ce qui peut bien arriver à ceux rester à la Nouvelle-Orléans, ou encore ceux dont on ne connaît pas la position. Des conversations simples qui aident à passer le temps. Dehors le vent faiblit. Pas d'oeil de l'ouragan ici, à Bâton Rouge, mais des vents qui faiblissent, permettant le retour du réseau téléphonique. C'est ça d'être un peu plus dans les terres. Néanmoins avec du réseau les téléphones sonnent et vibrent, et l'atmosphère se détend un peu dans le gymnase. De bonnes nouvelles pour beaucoup certainement.
C'est aussi l'heure du dîner, et des repas sont distribués, avant que les lumières ne soient un peu baissées en intensité pour ceux qui veulent tenter de dormir, et les enfants, tandis qu'à l'extérieur le vent reprend un peu d'intensité, faisant repartir le réseau téléphonique, au grand malheur de nombre de personnes. Ça sera certainement une nuit calme. Enfin autant que possible, le stress restant malgré tout présent.
@Juliet Fibonacci ; @Dominique D. Saint-John ; @Eleonora S. Monet ; @Solveig Becker
Quelques informations sur l'intrigue
+ Il n'y a pas de réseau téléphonique, les communications par téléphone ou SMS sont donc impossible. Il est revenu durant un temps avant de redisparaître.
+ Vous êtes tous les uns à côtés des autres dans ce grand gymnase rempli de cris et de pleurs
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoire dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant
code (c) rainmaker
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Are we safe ? #1
Dominique pâlit en entendant la nouvelle arrivante parler de son amie enceinte. Elle n'osait imaginer la difficulté et le stress que ça devait engendrer, surtout à huit mois de grossesse. Elle essaya de réfléchir, mais il ne lui semblait pas avoir croisé de femmes enceintes depuis qu'elle était arrivée dans le gymnase qui leur servait d'abri. Pour être honnête, elle avait surtout été concentrée sur la petite Loa, pas très à l'aise loin de son père, qui jouait les héros à la Nouvelle-Orléans.
Elle était perdue, ne voyant pas trop comment réconforter la jeune femme quand Elijah évoqua le registre des réfugiés. Registre sur lequel ils s'inscrivaient tous en arrivant, rituel immuable et tellement naturel pour elle qu'elle n'y pensait plus une fois son nom inscrit dessus.
La main dans les cheveux de Loa, qui somnolait contre elle, Dominique écouta le reste du groupe s'interroger sur ce qu'ils devaient faire. Elle n'avait pas très envie de laisser Loa, mais les filles de Juliet semblaient plus que ravies de s'en occuper. Elle suivit donc, pour que la personne du registre, après plusieurs minutes de recherche, un peu crispée sous les quatre paires d'yeux qui la fixaient, ne finisse par dire qu'aucune Alix Grant n'était inscrite.
« Je suis désolée » marmonna-t-elle à Solveig tandis qu'elles retournaient vers leurs lits. « Mais le gymnase n'est pas le seul refuge de Bâton-Rouge. »
Il devait y en avoir des dizaines, pour absorber le flux de réfugiés n'ayant pas de familles ou de points de chute dans les terres louisiannaises. Elle espérait donc vraiment que la femme enceinte avait trouvé refuge quelque part - ou, si elle était encore à la Nouvelle-Orléans, qu'elle était à l'hôpital, qui restait ouvert contre vents et marées.
« On devrait se poser et manger un peu, histoire de garder des forces » proposa-t-elle alors qu'autour d'elle, les téléphones commençaient à vibrer, symboles d'une reprise du réseau.
Elle jeta un œil au sien, mais elle n'avait rien reçu. Pas même un message de Kai... Elle espérait qu'il allait bien, et que ce n'était pas trop l'enfer dans la ville.
Elle était perdue, ne voyant pas trop comment réconforter la jeune femme quand Elijah évoqua le registre des réfugiés. Registre sur lequel ils s'inscrivaient tous en arrivant, rituel immuable et tellement naturel pour elle qu'elle n'y pensait plus une fois son nom inscrit dessus.
La main dans les cheveux de Loa, qui somnolait contre elle, Dominique écouta le reste du groupe s'interroger sur ce qu'ils devaient faire. Elle n'avait pas très envie de laisser Loa, mais les filles de Juliet semblaient plus que ravies de s'en occuper. Elle suivit donc, pour que la personne du registre, après plusieurs minutes de recherche, un peu crispée sous les quatre paires d'yeux qui la fixaient, ne finisse par dire qu'aucune Alix Grant n'était inscrite.
« Je suis désolée » marmonna-t-elle à Solveig tandis qu'elles retournaient vers leurs lits. « Mais le gymnase n'est pas le seul refuge de Bâton-Rouge. »
Il devait y en avoir des dizaines, pour absorber le flux de réfugiés n'ayant pas de familles ou de points de chute dans les terres louisiannaises. Elle espérait donc vraiment que la femme enceinte avait trouvé refuge quelque part - ou, si elle était encore à la Nouvelle-Orléans, qu'elle était à l'hôpital, qui restait ouvert contre vents et marées.
« On devrait se poser et manger un peu, histoire de garder des forces » proposa-t-elle alors qu'autour d'elle, les téléphones commençaient à vibrer, symboles d'une reprise du réseau.
Elle jeta un œil au sien, mais elle n'avait rien reçu. Pas même un message de Kai... Elle espérait qu'il allait bien, et que ce n'était pas trop l'enfer dans la ville.
Codage par Libella sur Graphiorum
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Storm on New-Orleans
Katrina is back ?
Are we safe ?
Après ce court moment permettant de recevoir des SMS et pour beaucoup rassurant, puis un dîner des plus simples, les réfugiés se couchèrent pour la plupart, tandis que d'autres veillaient sur les enfants dormant paisiblement malgré le petit brouahah ambiant, incapable de se plonger dans le sommeil alors que le vent souffle dehors, et que plusieurs de leurs proches se trouvent loin, en plein coeur de la tempête pour certain.
Quand la tempête prend fin au petit matin, le groupe de femmes toujours ensemble s'apprête à rentrer chez elles quand elles apprennent que cela est impossible pour le moment. La ville est dans un sale état visiblement et les autorités n'ont pas autorisé le retour des habitants pour le moment. Mais le réseau revient, et de nouvelles nouvelles arrivent aussi, permettant aux angoissés de se rassurer. Ou pas. En tout cas, le silence ne perdure plus.
Elles attendront encore des heures avant d'avoir le droit de quitter le gymnase, mais toujours pas la consigne de rentrer. Pas encore, toujours trop tôt. Le retour ne se fera pas avant le lendemain au plutôt, alors ce qui veulent rester, restent au gymnase et les autres rejoignent d'autres proches ailleurs dans l'Etat si les routes le permettent.
@Juliet Fibonacci ; @Dominique D. Saint-John ; @Eleonora S. Monet ; @Solveig Becker
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