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Anonymous
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#Jeu 19 Sep - 6:41

Supermarket

J'aurais pu être choqué par les exclamations du jeune homme mais elles étaient plus que compréhensibles. Si Jimmy ne m'avait pas obligé à effacer tous les gros mots de mon vocabulaire, j'aurais sûrement juré moi aussi, de peur et de surprise. Mais au lieu de cela j'étais resté silencieux, espérant maintenir une apparence assez calme pour rassurer un peu les autres. J'étais un homme après tout, je les dépassais presque tous d'au moins une tête aussi, ça m'imposait un certain rôle que je me devais de tenir. Je desserrais donc un peu mon étreinte puis me mis silencieusement en route vers le lieu sûr proposé par le gérant.

L'eau était de plus en plus haute à nos pieds et le froid me donnait la chair de poule. Malgré toutes mes tentatives, mon esprit n'était tourné que vers elle et vers cet hôpital mal fichu. Pourquoi n'était-elle pas partie avec les autres ? Pourquoi n'avait-elle pas simplement fuis ? J'aurais été plus tranquille de la savoir en sécurité elle aussi, loin de tout ça... Et je n'aurais pas été là moi non plus. Elle était la seule raison que j'avais eu de rester, elle et les deux maisons que j'avais tenté de protéger au possible jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour partir de toute façon.

Une fois dans la pièce, je posais mon barda puis ressortais mon téléphone. J'avais déjà écrit quelques messages à la jeune femme mais l'absence de réseau les laissait bêtement tourner sur mon portable... Ils partiraient tous d'un coup, eux et ceux envoyés à ma mère et à ma sœur. J'étais mal, nerveux au possible mais je tentais toujours de ne pas la montrer. Qu'allait-il se passer à présent ? Étions nous réellement plus en sécurité ici qu'ailleurs ? Où en était la tempête ? Où était Arianell et comment allait-elle ? Je savais que les autres femmes de ma vie était en sécurité avec Jimmy... Elles l'étaient n'est ce pas ?

Trop de questions et trop peu de réponse. Et le vent de plus en plus fort dehors. Et le froid causé par mes vêtements trempés devenus bien trop collants. Je ne voulais pas mourir ici, pas maintenant, pas sans elle ou sans savoir. Il fallait qu'on s'en sorte. Je ferais tout pour.

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La bokor
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#Dim 22 Sep - 21:44
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Supermarket


Le plafond de tôle s'est effondré sous la pression de l'eau de pluie, et celle-ci s'est répandue dans le supermarché mouillant les réfugiés, ou plutôt les prisonniers, qui paniquent légèrement. Désormais, il faut se réfugier ailleurs, mais il n'y a pas d'ailleurs. Dehors c'est presque l'apocalypse, le vent souffle avec force et sortir est impossible. Alors le directeur du magasin propose à nouveau la zone du personnel, qui est plus solide que le reste, et les réfugiés acceptent, courant s'y réfugier, s'y mettre au sec, loin de l'eau mais aussi du vent. Pour le moment leurs seuls risquent c'est d'attraper un bon rhume plus qu'autre chose.
Enfermer dans les locaux du personnel, ils s'installent dans la salle de réunion, discutant un peu, mais attendant surtout la fin de la tempête désormais. Et petit à petit, le vent faiblit pour se taire complètement tout comme la pluie. L'oeil du cyclone est sur la ville. La paix va régner pendant quelques temps avant que la tempête ne reprenne. Et durant ces instants de calme le réseau téléphonique revient. Quelques instants, quelques minutes, mais les portables vibrent ou sonnent, signe que des SMS attendent. Des proches, des amis inquiets ou rassurants. Le réseau ne tient à peine que trois minutes, mais il est là assez longtemps pour un rapide échange.
Puis la tempête revient doucement. Dans le magasin, des objets volent, on les entend s'écraser contre les murs, ce qui n'est pas rassurant. Mais ils sont en sécurité ici. Enfin c'est ce qu'ils pensent, car ils ne voient pas qu'à l'extérieur, sous le vent, mais aussi le choc d'une voiture, le mur s'est fissuré et le risque d'un nouvel accident reste grand.

Quelques informations sur l'intrigue

+ Il n'y a plus de réseaux téléphoniques, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur. Celui-ci est revenu quelques minutes pour redisparaître.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoires dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ S’il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

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Anonymous
Invité
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#Lun 23 Sep - 18:15
Et Fuck de fuck. Si c’était pas la merde avant, là c’était difficile de faire pire. Le plafond s’était effondré sur eux, l’eau était entrée, et ils était tous trempée. ils s’étaient réfugiés dans la zone du personnel, plus résistante face aux intempérie que le reste du magasin. Oz se les caillait, c’était difficile de faire pire, pour ça il faudrait qu’il se retrouve en antarctique, à poil, en plein milieu de la glace. Pour le coup, il se faisait tout petit, pas certain de s’en sortir cette fois.

“C’est pas comme ça que j’veux mourir, la noyade c’est douloureux apparemment! j’préfèrerais mourir dans mon sommeil, tout seul. Putain de météo de merde.”

Franchement, il commençait à regretter de s’être barrer, au moins à l’appart il aurait été plus en sécurité, ils n’étaient pas au rez de chaussez ils auraient évité inondation, et le toit ne se serait sûrement pas effondré. Bon, il aurait dû supporter Elizabeth ce qui n’était pas si simple. L’oeil de la tempête était sur eux, le calme de dura que quelques instants, pas assez pour répondre a tout ses sms. Eli était en colère, c’était certain, le seul qui était passé était “ça va.” ouais, pour le moment il était encore en vie, mais pour combien de temps?

“Est-ce que l’endroit va tenir? parce que vu l’état du magasin perso j’ai pas confiance.”

quelle ville de merde, pourquoi est-ce que ses parents s’étaient installé ici et pas ailleurs? Il y avait de bien meilleurs endroits et ils auraient pu se droguer tout pareil. Avec l’avantage de ne pas manquer de se faire tuer par les éléments. Il grelottait de froid, ou de peur, franchement, il n'était pas certain, mais il aimerait que tout s'arrête, qu'il puisse rentrer au chaud.
Anonymous
Invité
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#Mar 24 Sep - 14:56
J'avais suivi mes compatriotes jusqu'à l'abri, mais celui ci ne semblait pas forcément le meilleur. D'ailleurs, nous commencions à avoir de l'eau qui montait.

J'espère que ca va se calmer, parce que je ne sais pas nager...

C'était la première fois que je vivais un ouragan et je ne savais pas du tout à quoi je devais m'attendre. J'essayais de ne pas le montrer,mais je commençais à flipper vraiment! Et le gamin n'aidait en rien à déballer qu'il n'avait pas confiance en cet endroit. Je jetais des regards sur le plafond qui avait déjà lâché. Je murmurais un vague

J'ai pas confiance non plus
Anonymous
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#Mar 24 Sep - 22:26

Supermarket

Trempé jusqu'à l'os et encore traumatisé par l'effondrement du toit, j'avais suivi le groupe sans mot dire. Le vent soufflait violemment dehors et la pluie s'infiltrait dangereusement dans la boutique, rendant notre abri de fortune bien peu rassurant. Une boite dans une boite... Une petite boite dans une grande boite en ruine... Je ne donnais pas cher de nos âmes mais priait tous les Dieux de la création pour en sortir indemne. Pour Jimmy bien sûr mais aussi pour Arianell que je savais encore en ville. J'étais resté pour elle, incapable de m'imaginer loin d'elle dans ce moment, conscient que je n'aurais pas supporté de ne pas être à ses côtés... Brillant résultat, je m'en félicitais.

Contrairement à mon plan, j'étais dans une boutique bien loin de l'hôpital ou de ma maison, sans la moindre nouvelle d'elle ou de ma sœur, sachant seulement que ma mère et mon fils avaient atteint un refuge dans une ville voisine. Mince compensation... Pour combler ce tableau, je tremblais à présent de froid, mon cerveau vagabondant dangereusement sur divers scénario catastrophe agrémentaient par le discours enthousiaste du jeune ado. Mourir noyer n'était pas non plus la façon que j'avais envisagé pour mourir et elle était aussi très loin dans ma liste... Je soupirais dans un frisson, tentant tant bien que mal de garder un air neutre.

« Nous devrions être à peu près en sécurité ici et l’œil du cyclone va nous offrir un peu de répit... »

Dis-je, cherchant presque plus à me convaincre qu'à convaincre les autres. Puis soudain, plusieurs vibrations se firent sentir dans ma poche, me poussant à tout lâcher pour plonger sur mon téléphone. J'avais envoyé quelques messages à Aria tout à l'heure mais aucun n'avaient atteint leur destinataire... Son nom s'afficha sur l'écran verrouiller, redonnant à mon cœur des battements plus rapides et enclenchant instantanément un sourire niais. Elle avait écrit et mes messages étaient enfin en route, faisant bugger un instant l'appareil. Des messages vides et le petit moulinet à côté qui montrait le chargement. Plus rien d'autre n'avait d'importance. Je pianotais un message pour lui dire que j'attendais de pouvoir lire ses messages mais que j'allais bien puis mon cœur cessa soudain sa course folle en voyant enfin le contenu de son dernier texto...

« Je t'aime »

Mes yeux restèrent bloquer sur ces deux petits mots un long moment, déclenchant une tempête tout aussi violente dans mon âme. Je lui avais déjà glissé ces mots à l'oreille mais elle ne les avait pas entendu... Depuis, je les avais retenu avec difficulté, luttant contre l'envie de lui hurler à chaque instant. Je l'aimais, depuis le début même... Mes yeux s'embuèrent un peu puis mes doigts s'excitèrent sur le clavier pour lui répondre. De terrorisé j'étais passé à extatique, incapable de me débarrasser de mon sourire malgré la tempête qui reprenait de plus belle dehors. Aria allait bien et elle m'aimait, je pouvais mourir à présent, j'étais heureux. Débile aussi mais c'était de sa faute, elle avait ce pouvoir sur moi.

« On ne peut qu'espérer »

Lançais-je avec un étrange enthousiasme. J'avais aussi envoyé un texto à ma mère et à Ali, n'ayant pas le temps d'écrire à Quincy avant que le réseau ne disparaisse à nouveau. J'espérais qu'il allait bien lui aussi. J'espérais m'en sortir pour revoir ma douce et pour lui dire de vive à quel point je l'aimais. Les bruits extérieurs étaient de plus en plus forts et de plus en plus inquiétant mais je ne pensais plus qu'à elle, à mon envie de la revoir. En fait, je n'allais pas mourir. Je ne pouvais pas mourir maintenant, pas sans l'avoir revu, pas sans lui avoir redit ces petits mots et sans les avoir entendu. Elle était ma raison de vivre aujourd'hui et donc ma raison de survivre aujourd'hui. Coûte que coûte.
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With @Oscar Kingsley & @Anaïs L. A. Giddings & @"Olivia Brady"
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#Mer 2 Oct - 19:33
Même Oz ne pouvait que réaliser que s’enfuir avait été une mauvaise idée mais ça, il ne l’admettrait jamais. Il avait réussi à envoyer un message à Elizabeth pour lui dire qu’il allait bien. La blonde avouait qu’elle ne sait pas nager. Au moins Oz n’était pas le seul dans cette situation. C’est pas comme s’il avait eu quelqu’un pour lui apprendre à nager durant son enfance et encore moins à l’adolescence donc bon, dans ce genre de situation, ça rajoutait du danger.

“J’sais pas nager non plus. Apparement c’est douloureux de se noyer.”

Ouais, rajouter la dernière partie n’était peut-être pas nécessaire, mais bon, autant se préparer à ce qui pouvait leur arriver. Une raison de plus ou de moins de paniquer, au point où ils en sont. Le vieux débile vient ajouter qu’ils n’ont qu’à espérer.

“L’espoir n’a jamais sauvé personne. Perdez pas votre temps ou votre énergie, ce serait inutile.”

Si l’espoir était vraiment utile, beaucoup de gens aujourd’hui morts seraient toujours parmis nous. Comme par exemple ceux qui sont morts dans les tours jumelles, ou n’importe qui, emmené d’urgence à l’hôpital.

“Surtout que bon, c’est la météo, c’est pas un truc qu’on peut contrôler. Sauf si vous êtes comme Tornade dans les X-men, mais vous n’en avez pas l’air.”


Si Ororo était là, ce serait sympas qu’elle fasse en sorte de calmer la tempête histoire que tout ça ce s’arrête et qu’ils puissent tous rentrer chez eux tranquillement. Enfin, chez eux.. Oz n’était pas près de rentrer chez lui, mais chez Elizabeth.
La bokor
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#Mer 23 Oct - 19:06
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Supermarket


La reprise de la tempête ne rassure personne, mais dans les locaux du personnel, ils sont en sécurité, enfin c'est ce qu'ils pensent tous. Car plus les heures passent, plus le souffle du vent et la pluie abîment le mur à l'extérieur. D'ailleurs celui-ci tremble désormais, et les réfugiés du supermarché peuvent tous le voir désormais, si bien qu'ils se retrouvent à reculer vers le bureau du directeur à l'opposé, qui possède d'ailleurs une porte blindée malgré la vitre qu'il y a dessus.
Ils y ont à peine trouvé refuge que le mur s'effondre, donnant un nouvel accès à l'ouragan à l'intérieur de la bâtisse. Un de plus. Mais désormais ils sont en sécurité, assis au sol, certains dans une demie panique. Et désormais ils n'ont plus qu'à continuer d'attendre, non sans trembler face aux rafales plus fortes que les autres. Sauf que cette fois leur abri tient bon jusqu'au bout de l'ouragan, bien qu'ils n'osent en sortir. Ce sont les secours qui finissent par venir les chercher après que Liam ait appelé à partir de son téléphone une fois le réseau de retour des heures plus tard. Ils ont attendu encore quelques heures avant d'être sauvés, puis tous emmenés vers des gymnases et stades couverts en bon état au sein de la ville, où vêtements et nourritures seront distribués dans l'attente de l'accord des autorités pour retourner chez soi. Pour l'instant les rues de la ville sont presque toutes impraticables et quitter la ville est donc impossible et les déplacements sont réduits au strict minimum

Résumé rapide

Par vous ne savez quel miracle, vous vous en sortez tous sans la moindre égratignure. Du moins physiquement car cette épreuve vous a pas mal bouleversé les uns et les autres, et vous vous souviendrez longtemps de l'ouragan Donald.


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