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Anonymous
Invité
Invité
#Ven 20 Sep - 18:31

Adriel, Neal, Maddox & Cali

Intrigue : Donald


Explosion. Sursaute, Cali, alors qu’il laisse échapper un « Putain de merde » somme toute bien français. L’électricité disparaît et avec elle, c’est sa terreur qui monte d’un cran. Ses doigts s’accrochent à un montant en ferraille, allant jusqu’à l’enlacer pour faire taire ses fichus tremblements. Cali peste, intérieurement. Fulmine d’avoir été un abruti pareil, alors que l’angoisse qui jusque-là ondulait grandit et s’étend au fur et à mesure du temps qu’il passe enfermé ici. Si on part défaitiste, c'est sûr, on va tous crever. Il ricane, le canadien. « Pas défaitiste, réaliste. » Mais c’était sans compter sur l’intervention du grand brun, venu les retrouver alors qu’ils avancent de nouveau vers l’entrée. « Tu crois que c’est le moment ? », à sa question sur les présentations. Ce que l’un de ses comparses tait, lui ne s’empêche pas de le laisser filer. Il écoute d’une oreille les idées – pas forcément futées – de ses compagnons d’infortune, profitant de cet interlude pour sortir le téléphone de sa poche et en allumer la lampe d’appoint. Les visages, autour de lui, sont terrifiés – empreints de la même angoisse que celle qui étire ses traits et qu’il tente d’apaiser à l’aide d’une nouvelle pilule. Ses chaussures et son bas de pantalon désormais trempés, l’eau s’infiltrant par les barricades, il faut agir vite. Le cerveau tourne à toute vitesse alors qu’il s’entend proposer : « Il y a sûrement des pièces de stockage, dans le fond du magasin. » En hauteur, peut-être. Et sans doute remplie de choses qui pourraient leur être utiles. « Des plaques métalliques ? », demande-t-il en désignant de sa lampe la barricade qui se fait la malle. « On se diviserait pas ? » Juste pour couvrir plus de terrain et peut-être, éventuellement, songer à sortir en vie de ce pétrin.

AVENGEDINCHAINS
La bokor
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Admin
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Age : 103
#Dim 22 Sep - 21:43
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Brico Dépôt


Les vents forcissent, l'eau continue à tomber fortement dehors et le niveau dans le magasin monte doucement, inondant un peu plus les parties les plus à l'arrière, celles qui permettent pour le moment de rester au sec. Les hommes présents décident de se diviser: un groupe part avec les quelques membres du personnel présents voir la réserve à l'arrière du magasin, espérant y trouver un refuge, tandis qu'un second groupe part à la recherche dans les rayons de quoi empêcher la montée de l'eau ou alors de la contenir. Ce serait fantastique... Car le magasin semble plus être un piège qu'autre chose... Et c'est un peu ce qu'il est: si la réserve est à peu près nickel, traversée de temps à autre par des rafales de vents, il n'en va pas de même pour la partie réservée au personnel qui n'a plus toit, du coup y trouver refuge est impossible. Quant à ceux dans le magasin, ils ont bien trouvé quelques sacs de sables, mais pas assez pour bloquer toute l'eau qui continue à monter et à envahir le magasin.
Heureusement pour les réfugiés la tempête se calme un moment : l'oeil de l'ouragan est sur la ville, apportant du calme, et stoppant la montée des eaux, enfin c'est l'impression que cela donne. Cela permet aussi aux réfugiés de réfléchir et de s’organiser : quelqu'un propose d'aller trouver refuge dans un magasin en face, et l'idée semble être adoptée par la majorité. Sauf que l'enlèvement des planches sur les portes vitrées montrent que l'extérieur est encore plus inondé que le magasin, alors à moins de vouloir nager, parmi de nombreux débris dont beaucoup sont invisibles sous l'eau, partir par cette voix est pour le moment exclu. Ils décident donc de se réfugier dans le fond du magasin, créant une barrière autour d'eux avec les derniers sacs de sable disponibles. Et pendant qu'ils se préparent à affronter la fin de la tempête, se servant dans les rayons de tout ce qu'ils peuvent avoir besoin, comme des lampes ou couvertures ou outils, celle-ci reprend doucement. Plus que quelques heures à peine, et cet enfer sera fini. Si d'ici là, ils survivent, tout comme le bâtiment qui semblent de plus en plus fragile à chaque rafale de vent.

Pour info: pendant l'oeil de l'ouragan, le réseau téléphonique est revenu pendant trois minutes environ, permettant de recevoir des SMS ou en envoyer, voir même prévenir les secours.



@Adriel A. Wheeler ; @Maddox F. Ellis; @Neal Doherty ; @Cali E. Oliveira & @Santiago Luna


Quelques informations sur l'intrigue

+ Vous RP dans l'ordre que vous souhaitez !
+ Il n'y a plus de réseaux téléphoniques. Il est revenu pour redisparaître.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoires dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

code (c) rainmaker

Anonymous
Invité
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#Sam 5 Oct - 17:41
T'aimes pas l'obscurité. T'aimes pas le bruit de l'ouragan dehors. T'aimes pas l'humidité qui gagne le dépôt. Et t'aimes pas être si loin de Stan alors que c'est peut-être les derniers instants de ta vie. T'es pessimiste, ouais, mais tu flippes, clairement. Tu flippes, et tu sais plus quoi faire. Et quoi que tu dises.

« Il y a sûrement des pièces de stockage, dans le fond du magasin. » « Des plaques métalliques ? » « On se diviserait pas ? »

T'as l'impression de tout entendre au travers d'une vitre épaisse. T'as figé, paniqué, et tu suis un groupe au hasard, qui part avec des membres du personnel vers la réserve. T'as l'impression d'être un rat pris au piège dans une cage et qu'en fait le tour seulement pour retarder l'échéance inévitable. Et quand t'arrives à la réserve, il y a rien pour te rassurer : une partie du toit des salles du personnel a disparu, vous ne trouverez aucun refuge par ici. T'es empli de désespoir, tu vois déjà la fin arriver, les titres des journaux annonçant le nombre de morts dans l'entrepôt au cours de l'ouragan, ton nom dans une liste placardée sur les portes d'un hôpital...

Et d'un coup, tout se calme. Tout se calme, pendant l'oeil du cyclone, et tu vois du réseau sur ton tel, et t'envoies deux messages désespérés aux deux êtres qui te sont le plus chers... Et puis t'as un éclair de lucidité. Pas celui d'un de tes camarades qui propose de gagner le magasin d'en face, non. Non tu sors ton téléphone, et t'appelles les secours, priant pour que le réseau tienne le temps d'avoir quelqu'un en ligne. Tu bredouilles un peu, quand t'as enfin quelqu'un au bout du fil - t'en reviens pas ! - et t'expliques à peu près combien vous êtes et où vous êtes. T'aurais bien gardé la personne en ligne plus longtemps, mais à nouveau, le réseau se coupe et la tempête reprend de plus belle.

Cloîtrés dans le fond du magasin, des sacs de sable comme dernier rempart autour de vous, tu te retrouves à prier comme l'autre tout à l'heure, la main sur tes pendentifs, en demandant à ta grand-mère et son Dieu de vous épargner, même si t'es pas le petit-fils parfait dont elle aurait pu rêver...
Anonymous
Invité
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#Dim 6 Oct - 11:18
Les choses ne s’arrangent pas et je suis tombé sur des drôles de loustique, dont un qui veut se barrer alors que dehors la pluie et le vent sont de plus en plus puissant. Heureusement il n’a pas pu s’en aller, je m’en serais quand même un peu voulu s’il était sorti, parce que je n’aurais rien fait pour l’empêcher et c’est sans doute le pire. Je ne suis pas aussi franc que j’en ai l’air. Je me défile en général, je fuis dès que quelque chose cloche. Je ne fais que fuir les problèmes la plupart du temps.

Le vent souffle et l’eau s’infiltre malgré les efforts qu’on a fait pour barricader les lieux. Rien n’empêchera mère nature de tous nous avoir. Le temps d’un instant tout redeviens presque calme. Je vois les autres sur leur téléphone et je sors le mien. J’envoie un message à Megane pour savoir si elle est en sécurité avec Maelle. C’est tout ce qui m’importe pour le moment.

« Il faut qu’on se planque. L’eau risque de monter. Ce n’est pas encore fini. »

Je voudrais les rassurer dire autre chose, mais ça ne se termine jamais bien les ouragans. Je ne sais pas ou on va pouvoir se planquer, je ne sais pas si on sortira vivant de là, mais autant qu’on se calme tous et qu’on essaie de faire en sorte que le reste de la tempête se passe bien.

« Si quelqu’un à d’autres idées, je pense qu’on est preneur. »


Je regarde le gars à côté de moi qui a proposé la pièce de stockage et ça peut être une très bonne idée, le gars qui prie à l’air perdu et peu rassuré d’être entouré de gens qu’il ne connait pas et je le comprends, je n’ai jamais été comme ça, mais il doit être timide et le fuyard lui à l’air aussi un peu à l’ouest, pas dans son état. Je ne sais pas ce qu’il a mais je le trouve louche depuis le début.
La bokor
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Admin
Notes remplies : 1371
Faceclaim : Twinny + Lupita Nyong'o
Age : 103
#Mer 23 Oct - 20:03
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Brico Dépôt


L'eau qui monte n'a absolument rien de rassurant, et fait augmente même la tension entre les clients du magasin, qui cherchent coûte que coûte des solutions. Et c'est celle de Neal qui est retenue: des plaques de métal pour stopper la montée progressive du liquide dans le magasin, tandis que d'autres préparent la barricade avec des sacs de sables. Toutes les idées sont bonnes à prendre ; le magasin doit tenir jusqu'à la fin de la tempête.
Et face à l'acharnement de tous, cela semble plutôt bien partie, surtout que les heures passent et que, même si les murs tremblent, le magasin tient bon et l'eau est canalisée par une construction éphémère et bancale, mais qui tient. La tension redescend même un peu dans le magasin, jusqu'à cet événement qu'aucun ne voit venir : une effondrement du mur de gauche, près du quel ils se trouvaient. Effondrement qui se produit sous la pression du vent et de la pluie et qu'aucun des réfugiés n'a vu venir. Et quand il tombe, le mur s'effondre sur Neal, Maddox et Adriel, qui se retrouvent entraînés sous les gravats du mur, amenant Cali, Santiago et les autres réfugiés — une fois le choc passé — à fouiller les ruines contre le vent qui s'engouffre désormais. Ils en sortent rapidement les trois hommes vivants, mais blessés et en mauvais états, assommés par le choc du mur. Neal se retrouve avec plusieurs égratignures et un bras cassé, pour Maddox c'est plusieurs côtes qui sont fêlées, faisant un mal de chien et de nombreuses égratignures, et enfin pour Adriel, en plus de côtes fêlées lui aussi, il a également une vilaine plaie à la tête, des égratignures et un poignée qui semble foulé, mais pas cassé.
Cali, en les aidant s'est méchamment ouvert la main, mais il n'y fait pas attention pour le moment se concentrant avec Santiago à sortir les gens des décombres, avant d'aller trouver nouveau refuge dans l'espace de stockage pour s'occuper des blessés mal en point.

Quand l'ouragan Donald prend fin, quand le calme retombe sur la Nouvelle-Orléans, tous se sentent soulagés, même les blessés malgré la douleur. Santiago finit par se proposer de sortir pour aller chercher des secours, se rendant compte qu'attendre des heures pour les blessés ne serait pas du tout une bonne idée. Accompagné d'un employé du magasin, il sort dehors, malgré l'eau dans la rue et marche durant de longues minutes avant de tomber sur des secours qu'il presse et guide jusqu'au magasin.
Les secours finissent donc par arriver quelques heures après la fin de la tempête, se chargeant d'abord d'évacuer les blessés avant de prendre en charge tous les réfugiés pour les amener dans des gymnases et stades couverts en bon état au sein de la ville, où vêtements et nourritures seront distribués dans l'attente de l'accord des autorités pour retourner chez soi.



@Adriel A. Wheeler ; @Maddox F. Ellis; @Neal Doherty ; @Cali E. Oliveira & @Santiago Luna


Résumé rapide

+ Adriel, Maddox et Neal: gravement blessés, vous êtes évacués vers l'hôpital du centre-ville le plus rapidement possible, où vous êtes pris en charge par les services de santé du mieux qu'ils peuvent.
+ Cali: blessé à la main, tu refuse d'aller à l'hôpital mais accepte de rejoindre le refuge comme tous les autres, non sans t'être fait bander la main auparavant malgré tout.
+ Santiago: Indemne physiquement mais peut-être pas psychologiquement, tu évacues avec les autres réfugiés vers un gymnase ou stade en attendant l'accord des autorités pour bouger.

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