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La bokor
La bokor
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#Lun 19 Aoû - 21:27
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Brico Dépôt


L'ouragan Donald arrive sur la Nouvelle-Orléans, avec plus d'un jour d'avance par rapport à ce que les météorologues ont annoncé. La ville n'est pas totalement prête à l'affronter, l'évacuation des habitants n'est pas terminé, la consolidation des habitants non plus, alors ceux qui sont encore là s'activent ou cherchent refuge dans les lieux les plus proches. La ville est en alerte maximale, les habitants restants ont pour ordre de se barricader et de quitter les rues au plus vite. Seuls les forces de l'ordre et les secours ont le droit de circuler depuis quelques minutes maintenant, si bien que les habitants qui effectuaient des achats de dernières minutes pour finir de barricader leurs lieux de vie se retrouvent coincés dans un magasin de bricolage. Peu stable, les tôles du toit se soulèvent à chaque rafale, et le vent s'infiltre dans le magasin. Pourtant les rares clients et les employés présents barricadent les portes en verre de l'entrée et s'enferment dans le magasin, priant pour être en sécurité.
Dehors le vent souffle à plus de 140 km/h pour le moment, l'électricité est vacillante, et il n'est plus question de sortir.

@Adriel A. Wheeler ; @Maddox F. Ellis; @Neal Doherty ; @Cali E. Oliveira

+ Adriel tu es venu acheté du matériel à la demande de ton patron pour le garage où tu bosses. Celui-ci étant peu solide, il a préféré t'envoyer racheter des clous et des planches supplémentaires pour consolider un peu plus ton lieu de travail. Mais désormais te voilà coincé avec les autres clients au coeur du magasin. Tu aides à consolider les portes d'entrées pour éviter qu'elle ne se brise plus, mais au fond de toi, tu maudis ton patron de t'avoir envoyé ici.
+ Maddox, ton appartement n'étant pas des plus stables, tu as décidé de passer acheter de quoi le barricader, car même si tu n'as pas grand chose, tu n'as rien envie de perdre. Sauf que maintenant tu es coincé dans le magasin de bricolage, contre ton gré, et en plus tu ne peux pas prévenir Nahele, qui lui t'attend dans l'appartement, et cela t'inquiète.
+ Neal c'est parce que tu as voulu venir en aide à tes voisins, des retraités que tu te trouves ici. Ton voisin manquait de planches pour sa maison, et ne pouvant y aller lui-même, il t'a sollicité, et c'est avec gentillesse que tu as accepté. Sauf que si tu avais su que l'ouragan était plus proche que prévu, tu n'y serai pas allé, surtout que maintenant tu dois attendre qu'il passe dans un magasin qui semble peu stable, ce qui ne t'empêche pas de donner un coup de main pour consolider l'entrée du magasin.
+ Cali tu étais juste venu acheter du matériel pour ta boîte, pour ton buissness, afin d'être sur que l'ouragan n'endommage rien (au choix: cadenas pour les coffres-forts, planche pour consolider la boîte, autre...). Sauf que maintenant te voilà coincé dans la boutique jusqu'à ce que la tempête ne passe, et cela ne te plaît mais alors pas du tout. Tu aurais préféré être en sécurité dans un lieu que tu aurais choisi plutôt qu'ici.


Quelques informations sur l'intrigue


+ Il n'y a plus de réseaux téléphonique, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoire dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

code (c) rainmaker

Anonymous
Invité
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#Lun 19 Aoû - 22:40
Ca te perdra, tu le sais bien. Combien de fois, tu t'es fait la réflexion que t'étais trop bon, que ça allait te retomber dessus ? Y a longtemps que t'as arrêté de compter, et une nouvelle fois, tu t'invectives de tous les noms. Donald est arrivé plus tôt que prévu. Et t'aurais franchement mieux aimé qu'il s'agisse de voir un canard blanc incompréhensible débarquer. T'as aidé tes voisins comme t'as pu, t'as proposé de faire les achats qu'il leur manquait et résultat, te voilà coincé dans ce magasin franchement pas rassurant, à attendre que le pire passe. T'es incapable de rester inactif, pour autant, tu vas devenir barge si tu restes assis dans un coin à rien faire, alors tu mets la main à la pâte. Mais tu sais pas combien de temps tu vas pouvoir aller et venir pour aider à consolider l'entrée du magasin, ta jambe risque rapidement de t'expliquer que t'es plus apte à ce genre de connerie.

Et t'es d'autant plus déprimé que tu peux même pas joindre les autres. Ni Seb, qui va s'inquiéter, ni Stan. Aucun réseau, ton iphone reste désespérément inerte, et ça te rend d'autant plus barge, toi qui passes ta vie connecté. T'as pris une photo quand même, pour montrer les dégâts, mais impossible d'actualiser ton fil instagram. Et sournoisement, t'as cette petite voix dans ta tête qui murmure que, peut-être, ça sera plus jamais le cas.

Alors tu bouges. Tu ramènes les planches, les clous, les outils, à qui de droit, aide à maintenir et accrocher le tout. Comme tu peux. Et bordel, qu'est-ce que tu donnerais pas pour un shoot, là, histoire de planer un peu et apaiser les angoisses qui menacent à tout moment de te faire péter les plombs...
Anonymous
Invité
Invité
#Mar 20 Aoû - 15:39
« Va nous chercher des planches et des clous si tu veux bien, on en aura besoin pout tout barricader. Ca approche. »

J’ai acquiescé aux mots de mon patron. J’ai pris la voiture et je suis allé jusqu’au magasin, tout le monde à fait la même chose, du moins je n’étais pas le seul et l’ouragan est venu bien plus tôt que prévu. Le vent s’est mis à soufflé. On nous a demandé de rester ici. J’ai soupiré en entendant ça. Je devrais être angoissé mais à quoi ça sert ? Autant gardé le sang froid et aider les autres à barricader le magasin, bien que je doute que tout ça ne soit réellement utile vu la puissance du vent. Je prends un marteau et tape dans le clou, me demandant combien de temps ça va durer. Je n’ai jamais vécu ça. C’est la première fois. Je n’étais pas là quand il y a eu katrina. Je n’ai vu ça qu’à la télé depuis mon salon de New-York alors forcément je me pose pas mal de questions et je m’inquiète un peu aussi pour Meghane. Je sais qu’elle est ici maintenant et j’espère qu’elle est en sécurité. On entend des coup de marteau depuis un moment maintenant, ça devrait être bon, même si je doute qu’on puisse réellement arrêter le vent. Il y un autre gars à côté de moi qui aide aussi.

« Il faudrait encore une planche ici et si on peut trouver des sacs de sable ça pourrait être bien. »


Je doute qu’il y en a ici et que ça puisse réellement nous sauver, dame nature décide de tout après tout. On ne peut rien faire contre elle. On peut seulement attendre que ça passe.
Anonymous
Invité
Invité
#Mar 20 Aoû - 21:45

Adriel, Neal, Maddox & Cali

Intrigue : Donald


Toi, dans un magasin de bricolage ? C’est une blague. C’est texto ce que Yasmine, son bras droit, avait répondu lorsqu’il avait parlé de venir se paumer dans les rayons du Brico Dépôt. Pour cause : Si Cali est doué en mécanique, le bricolage n’est clairement pas sa tasse de thé. Mais eh, on n’est jamais mieux servi que par soi-même et vu le cataclysme annoncé, il préférait prendre les devants et acheter de quoi protéger le Millénium comme il se doit de la fureur de Donald. Drôle de nom, songe-t-il en décrivant pour la quatorzième fois le rayon réservé aux vis et clous. Trop de tailles, trop de formes. Il était censé s’en sortir comment dans ce bordel ? Il marmonne dans sa barbe, en pensant qu’il filera ce boulot à l’un de ses sbires une fois rentré. Il s’est déjà tapé les courses, ce qui est loin d’être dans ses habitudes, il ne faudrait pas pousser Papy dans les orties en lui demandant en plus d’installer tout cet attirail. Un coup d’œil à son caddie : des planches plus ou moins grandes et épaisses, des cadenas et des chaînes, marteaux, visseuse et autres ustensiles dont il oublie le nom au fur et à mesure qu’il les ajoute à la liste. Il achète au pif, clairement, en se répétant que de toute façon, il vaut mieux trop que pas assez.

Il ne sait plus bien depuis combien de temps il zigzague entre les rayons, ignorant les regards des clients qui doivent trouver qu’un mec en costard, ça fait quand même tâche dans le décor, mais il finit par envoyer un sms à Yas pour la prévenir qu’il a vaincu sa quête et qu’il sera là sous peu. Bip bip. Erreur : envoi du message impossible. « C’est une blague ? », râle-t-il en s’excitant sur son écran de téléphone. Mais rien à faire : le mobile n’en fait qu’à sa tête et pour une fois, est plus têtu que lui. Il s’apprête à passer en caisse lorsque l’interphone du magasin résonne. « En raison de l’arrivée imminente de l’ouragan, la sortie du magasin est interdite. Tous les clients sont priés se rapprocher des caisses et du personnel responsable. » Pardon ? Plaît-il ? C’était quoi l’idée, les garder enfermés ici, dans ce vieil entrepôt brinquebalant, jusqu’à ce que ce qui était annoncé comme un ouragan d’une intensité énorme leur ait roulé dessus ? « Hors de question. » Il file entre la foule caddie devant lui, évite de justesse un retournement acrobatique de planches d’une vieille pas très prudente et se rend jusqu’à la sortie, que deux autres sont déjà en train de cloisonner. « Stop, arrêtez de clouer, moi je sors. » Ce n’est clairement pas une question – rester ici, comme le suggère cette boule d’angoisse grossissant au creux de son abdomen, serait à la fois une mauvaise idée pour lui comme pour tous ces innocents.
 


AVENGEDINCHAINS
La bokor
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#Lun 26 Aoû - 21:39
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Brico Dépôt


Etre coincé dans un magasin de bricolage pendant un ouragan, on a vu mieux. Surtout que celui-ci ne semble pas très solide au premier coup d'oeil, mais maintenant que l'interdiction d'en sortir a été donnée, interdiction qui vient des autorités de la ville, et relayée par des policiers venus sécuriser les lieux et qui passeront la tempête ici, avec les quelques clients présents. Les personnes présentes finissent donc de barricader les portes vitrées, histoire de passer la tempête dans la plus grande sécurité possible. Alors quand un des clients rétorque qu'il veut quitter les lieux, les policiers lui font comprendre que c'est désormais interdit. D'ailleurs vu les rafales de vents à l'extérieur, il ne pourrait faire plus de dix mètres avant de s'envoler, l'intensité de celles-ci ne faisant qu'augmenter. Rester dans le magasin est bien plus pour lui.
C'est à ce moment là qu'apparaît un nouveau client, qui se trouvait dans le fond du magasin, venu lui aussi faire des achats. Il a juste entendu l'annonce au micro que désormais, quitter le magasin de bricolage était impossible.

@Adriel A. Wheeler ; @Maddox F. Ellis; @Neal Doherty ; @Cali E. Oliveira & @Santiago Luna

+ Santiago tu es toi aussi venu acheter du matériel à la demande de ton patron pour finir de renforcer le bar où tu travailles. Comment t'a-t-il persuadé ? En te promettant une belle prime, et tu n'as pu dire non, tant tu as besoin d'argent. Sauf que maintenant, te voilà coincé avec toutes ces personnes dans ce magasin le temps que la tempête ne passe, et tu ne sais pas pourquoi, tu sens que cela va être un long moment.

Quelques informations sur l'intrigue

+ Vous RP dans l'ordre que vous souhaitez !
+ Il n'y a plus de réseaux téléphonique, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoire dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

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Anonymous
Invité
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#Jeu 29 Aoû - 19:17
Je lève les yeux vers le type à côté de moi qui dit qu’il veut sortir. Il est sérieux ? Je le regarde de haut en bas, sans peu de cérémonie. Je suis à moitié amusé par cette situation et à moitié exaspéré. Il y a toujours des petits malins qui veulent sortir alors qu’on leur dit non. J’étais comme ça avant. Je me suis calmé.

« Si tu as envie de crever c’est ton problème. »

Ce n’est pas très gentil, mais je m’en fou. Je n’ai pas envie de l’être. S’il veut sortir qu’il sorte et qu’il nous laisse nous barricader pour essayer de survivre, même si on est loin d’être sûr que le magasin tienne. Les policiers l’en dissuade surement plus que moi. Je lâche mon marteau. Tout ça ne sert peut-être pas à grand-chose et je vois un type venir de je ne sais où, peut-être de l’arrière-boutique.

« Bienvenue en enfer. »

Je lui fais un sourire. J’aurais préféré me retrouver ailleurs plutôt qu’ici. J’aurais peut-être dû repartir à New-york comme on me l’a suggéré mais je n’avais pas envie. Je n’ai plus rien à faire là-bas. Ma vie est ici et ce n’est pas un ouragan qui va me chasser. Il en faut plus que ça, il faut au moins qu’on m’accuse à nouveau de meurtre, là ce serait vraiment le pompon.
Anonymous
Invité
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#Jeu 29 Aoû - 20:32
Le patron l'avait envoyé faire une course pour redresser le bar qui commençait à se casser la gueule. Non très remué pour faire une telle tâche, il avait été motivé par une belle somme d'argent en retour et une offre qu'il n'avait pas pu refuser. Il lui fallait gagner absolument des sous pour renflouer les caisses afin de pouvoir vivre et faire vivre ses proches.

A l'extérieur, le vent commençait à souffler, mais Santiago ne s'en était pas soucié plus que cela. Il avait atteint le magasin de bricolage en souriant. C'était la première fois qu'il y mettait la pieds et il ne se serait pas vu dans un tel endroit un jour, quoique, ne savait-on jamais. Mais c'était plus son frère qui était le roi de la bricole et il faisait appel à lui en cas de nécessité. Il aurait pu demander ses services pour cette fois ci, mais son frère était aux abonnés absents et il n'avait pas plus envie de le déranger que cela.

L'ouragan commençait à pointer le bout de son nez lorsque Santiago se retrouva à l'intérieur du magasin. Il leva les yeux vers le ciel pour guetter le temps qu'il faisait à l'extérieur et ça amenait rien de bon. Le vent soufflait très fort, d'une puissance qu'il n'avait jamais vu encore et il se demanda si le magasin allait tenir le coup. A ce moment là, des clients se mirent à barricader les issues avec des planches et des clous et l'un d'eux voulu sortir. Santiago les observa avant de se mettre dans un coin et réciter la prière de Notre Père. Les mains liées, il priait le ciel entre deux rayons pour que le vent cesse et que les choses se rétablissent.
Anonymous
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#Ven 30 Aoû - 13:36
« Il faudrait encore une planche ici et si on peut trouver des sacs de sable ça pourrait être bien. »

Tu hoches la tête aux directives d'un inconnu. Tu suis le mouvement depuis que l'alerte a été donnée, t'exécutes quand on t'indique quoi faire. Et tu flippes, tu flippes tellement. Différemment de ce type, qui refuse de rester enfermé. Tu comprends l'impression d'être prisonnier, mais ça ou emporté par la tempête, t'as fait ton choix, et tu te retrouves bouche bée devant le gars qui te demande d'arrêter ce que tu fais.

« Stop, arrêtez de clouer, moi je sors.
- Si tu as envie de crever c’est ton problème. »

Euh oui... Mais non. Non, tu ne peux pas le laisser partir et tu restes là, les bras ballant, à le dévisager avec des yeux ronds. Les dévisager tous les deux, d'ailleurs, t'as du mal à comprendre que l'autre puisse le laisser prendre un tel risque, et si t'es pas vraiment taillé pour te battre ou quoi, tu n'as aucune intention de déclouer quoi que ce soit. Ca ne solutionne pas grand chose, mais tu reprends ton ouvrage, cloue la planche indiquée par l'autre peu avant, t'apprêtes à aller chercher des sacs de sable quand...

« Bienvenue en enfer. »

Tu te retournes pour visualiser un nouveau visage, que tu n'avais pas encore aperçu. Tu le vois prier et instinctivement, ta main se porte à tes pendentifs, où se trouve la croix si chère à ta grand-mère. T'imagines qu'elle aussi, elle serait en train de prier, là. Toi tu sais pas si t'en es capable. Et quelque part, t'envies un peu l'autre de ne pas douter de ça, et d'avoir son Dieu auquel se raccrocher.

« J'espère qu'Il entendra vos prières. »

T'en reviens pas d'avoir osé dire ça, avec un petit sourire embarrassé, cependant, en passant près de lui à la recherche des sacs de sable évoqués plus tôt. Mais tu t'imposes pas davantage dans ses prières, et tu poursuis ta route, temporairement toujours. Tu sais que tu vas revenir dans l'autre sens dans quelques minutes de toute façon...
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#Lun 2 Sep - 17:53
« J’EN AI MAAAAAAARE !! FAIS CHIER !!! », beugla-t-il à l’autre bout du brico débot se foutant royalement des autres gens dans l’endroit.

Ça devait faire un bon 5 minutes minimum qu’il essayait de prévenir Nahele depuis le magasin avec son téléphone mais il n’y arrivait pas à communiquer avec lui. Il ne savait pas si s’était à cause de l’ouragan qu’il n’y arrivait pas — ce qui était beaucoup plus rationnel et logique — ou si s’était une tentative du gouvernement pour l’éloigné de Nahele et le faire retourner à Hawaï.

Il marcha avec ce qu’il avait pris pour barricader son appartement et marcha d’un bout à l’autre sans croiser personne.

« OH HÉ! Y’A QUELQU’UN? J’PAS SEUL AU MONDE QUAND MÊME! »

Il continua de marcher et fini par voir des gens plus loin. Il se mit à courir vers les gens et les regarda un moment, il fixa une des personnes présentes.

« T’as le droit de prier, perso j’ai trop peur que quelqu’un d’autre m’entende et décide de me rendre la vie encore plus impossible »

Il regardait autour de lui nerveusement. Il avait oublié de prendre ses cachets ce matin, intérieurement il espérait vraiment qu’il n’allait pas dégénérer … autant pour lui que pour les gens présents. Il avait encore un minimum de jugeote et au moins un pied dans la réalité. Il était tellement absorbé par ses inquiétudes naissantes qu’il avait littéralement oublié que son pot de médicament était dans sa poche de pantalon …
Anonymous
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#Mer 4 Sep - 19:27
Je suis tombé avec des fous, c'est la première chose qui me vient en tête. Est-ce qu'il y a quelqu'un de normal dans le coin? Entre le type qui prie, celui qui ne dit rien, l'autre qui veut se tirer et celui qui gueule qui a pas de réseau je suis servi. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça? Qu'est-ce que j'ai fait? Je me le demande, parce que ça risque de m'agacer très vite tout ça et je lève les yeux au ciel.

"Il n'y a pas de réseau petit malin au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué, depuis que les vents ont commencé à souffler, il y a du avoir une coupure téléphonique et tu peux crier autant que tu veux ça ne va pas nous aider ça, pas plus que les prières ou que d'aller directement dans la gueule de l'ouragan. C'est idiot. Ce qui peut nous aider en revanche c'est d'essayer de continuer de baricader cet endroit, parce que je ne suis pas sur que ce machin tienne. La tôle ça s'envole vite et je ne sais pas vous mais moi je n'ai pas envie de mourir."

Je suis un peu dur avec tout le monde surtout avec les deux plus timides qui n'ont sans doute rien demandé, mais ça c'est mon côté star qui ressort. J'ai toujours dit ce que je pensais peu importe les conséquences.

"Et navré pour les prières les gars, vous avez le droit de faire ce que vous voulez."


Je préfère autant qu'il n'y ai pas de malentendu, même si je trouve ça idiot de prier un dieu qui ne nous sauvera surement pas. Je pense à Megan et à ma fille ... ma fille bordel ... j'ai une fille. Je n'arrive pas à le croire, toujours pas. Si je sors vivant de là, promis je serais un bon père.
Anonymous
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#Sam 7 Sep - 17:24

Adriel, Neal, Maddox & Cali

Intrigue : Donald


Si t’as envie de crever c’est ton problème. Cali vrille ses prunelles dans celles du brun en face de lui. Beau mâle, trop sûr de lui. Inconscient du danger qu’il représente et de la manière dont Ekaitz va l’accueillir s’il continue de lui parler sur son ton. « C’est mon problème, en effet », grogne-t-il avant de s’avancer vers l’entrée barricadée, bousculant au passage un autre gars dont il n’aperçoit pas le visage. Deux flics lui barrent instantanément la route et le poussent à reculer, accentuant la colère qu’il sent couler entre ses veines. « Putain, c’est pas possible », rage-t-il dans un français revenu naturellement. Il jette un œil à la foule qui l’entoure, jusqu’à ce que le cri d’un déluré vienne perturber sa recherche de solution. Il vrille, l’animal, il a l’air complètement en manque. Cali est suffisamment aguerri dans ce domaine pour pouvoir reconnaître un mec en crise de cachetons.

Instinctivement, ses mains retrouvent ses poches et les cachets qu’il y a glissés avant de partir. Il en enfile un entre ses lèvres, s’éloignant du cortège policier et des barricadeurs notoires pour filer entre les rayons du magasin à la recherche d’une sortie alternative. Il doit y en avoir une, pas possible autrement. Cali tombe finalement sur un homme, mains liées, occupé de prier dans l’une des allées. « Vous savez qu’il ne vous sauvera pas, pas vrai ? » Secoue négativement la tête, un rire amer au bord des lèvres. Dehors, le vent a forci, et fait à présent grincer la bâtisse avec une puissance qui effraie le canadien. « On va tous crever ici », murmure-t-il sans se préoccuper de si l’autre l’entend ou non. C’est con. Tout ça pour quelques planches et des vis qu’il a finalement abandonné à l’entrée du magasin…

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#Dim 8 Sep - 11:53
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Brico Dépôt


Les minutes passent et la situation à l'extérieur ne fait qu'empirer avec des vents de plus en plus forts et une pluie qui continue de tomber drue, résonnant avec force sur le toit de la boutique. L'angoisse augmente donc, surtout que sortir est désormais complètement impossible. Soudainement une explosion se fait entendre dans la zone commerciale, à l'extérieur et l'électricité disparaît. Le disjoncteur a explosé sous la force des vents, la pluie et une chute au sol, privant toute la zone de sa lumière. Le magasin de bricolage se retrouve ainsi dans le noir et comme un malheur n'arrive jamais seul, de l'eau commence à s'infiltrer par les portes barricadées. Le parking et les rues aux alentours sont sous l'eau des pluies depuis de nombreuses minutes et le niveau ne fait qu'augmenter, si bien que maintenant l'eau monte sur les trottoirs et s'infiltre dans la boutique, amenant les réfugiés toujours prêts de l'entrée à se retrouver les pieds dans l'eau. Comment vont-ils réagir ? L'eau qui avance et le noir ne font pas bon ménage sur les esprits déjà échaudés par la situation. Vont-ils penser à aller faire le fond de la boutique, toujours sèche ? Trouveront-ils un refuge sauf et sec ?



@Adriel A. Wheeler ; @Maddox F. Ellis; @Neal Doherty ; @Cali E. Oliveira & @Santiago Luna


Quelques informations sur l'intrigue

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Anonymous
Invité
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#Dim 8 Sep - 14:55
Plus le temps passait, plus ça empirait. Aussi, Santiago attendit de terminer de prier avant de penser quoique ce soit. Des personnes ici présentes l'avait vue faire et une seule avait réagi positivement, du moins, ne lui avait rien reproché ou dit quoique ce soit pour le décourager. Il était assez agacé mais il ne le montra pas. C'était quoi le problème? Il faisait ce qu'il voulait, non? Les prières étaient son moyen de réconfort, son petit espoir à lui, alors au diable le reste. Aussi, il décida de ne faire aucun commentaire sur ce qu'on lui avait dit, préférant se taire et laisser les choses couler plutôt que d'échauffer les esprits. Ça ne servait à rien et ça n'avancera pas les choses.
Aussi, certains d'entre eux pensaient qu'ils allaient mourir. Santiago, quant à lui, garda son calme même si son cœur battait plus vite qu'à la normale. Il y avait des chances qu'ils soient victimes de l'ouragan mais il y avait moyen de se sortir de là, avec un peu de volonté.
"Si on part défaitiste, c'est sûr, on va tous crever" dit-il d'une petite voix. Il se redressa et observa toute l'assemblée. Le niveau d'eau augmentait de plus en plus ce qui le paniquait un petit peu, sans l'alarmer non plus. A quoi bon?
L’électricité décida de se couper, ce qui n'avait rien de surprenant vu la tempête à dehors. Le noir s'installa alors, avec comme filtre de lumière, celle de l'extérieur. On y voyait à peine et c'était difficile de se déplacer. Le niveau d'eau redoubla et s'infiltra à l'intérieur. Santiago voulut croire qu'il était impossible qu'elle arrive jusqu'au toit sans détruire le magasin, qu'il y avait forcément une issue quelque part.  
"Je ne sais pas combien de temps on va tenir ici, mais on va prendre l'eau ça c'est sur. Je crois qu'on ne devrait pas rester là." dit-il sans trop espoir de réponse en retour. Santiago n'avait jamais été très doué pour remuer les troupes mais il faisait ce qu'il pouvait.
Anonymous
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Invité
#Lun 9 Sep - 19:00
Le petit gars n’a pas tort. Je lui donne une tape dans le dos.
« Tu as raison, c’est comment ton petit nom ? »
Non je ne le drague pas, je serais mal placé de le faire ici alors que la tempête fait rage et j’aime Megan, je pense d’ailleurs à elle et à notre fille, notre fille, bon sang ce que j’ai du mal à m’y faire. Notre fille. Je n’en reviens toujours pas. Le type qui voulait sorti ne peu plus désormais, on est coincé ici et évidement tout ne va pas en s’arrangeant. Ca va même en empirant si c’est possible. Je sens de l’eau sous mes pieds, mes chaussures ne sont pas étanches, merde. De l’eau, manquait plus que ça, on va finir noyer.

« Il n’y a pas moyen de monter sur le toit ? »

Question posée en l’air qui peut paraître un peu stupide, puisque le vent souffle toujours, je ne connais pas le magasin, mais je n’ai pas envie de rester là et de finir noyer. Je n’ai jamais été très fan de l’eau froide. J’aime aller à la mer, mais je n’aime pas quand elle s’invite de cette manière.

« Peut-être qu’on peut essayer de trouver une autre issue … je ne pense pas qu’on arrivera à stopper l’eau, il aurait fallu des sacs de sable pour l’empêcher de s’infiltrer. »

Mais on n’a pas eu tellement de temps, il n’y avait pas de sac de sables. On fait avec ce qu’on a, il ne devait pas arriver avant demain, alors forcément, on était pas tout à fait près et j’espère que mon patron a su se mettre à l’abri.
Anonymous
Invité
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#Lun 9 Sep - 20:24
Ca crie, ça hurle, ça s'engueule... Et toi tu restes là, paralysé. Tu comprends pas comment les gens peuvent en arriver là, alors que c'est l'apocalypse dehors. Tu comprends presque mieux le type qui prie, même si tu te vois pas le faire toi. Et tu retournes clouer des planches, poser des sacs de sable, n'importe quoi tant que ça peut faire un minimum rempart au déluge dehors. C'est peut-être peine perdue, peut-être que le type qui dit que vous allez tous crever là a raison. Mais tu peux pas rester sans rien faire, et tu t'actives, tant que ta jambe te le permet.

Parce que tu sais bien que ça va pas durer éternellement non plus, et quand tu pourras plus bouger, si ça lâche, tu donnes pas cher de ta peau. Peut-être qu'il a raison, ce type, finalement. T'entends bien comme ça empire dehors, ça cogne sur la tôle, et t'as le coeur qui s'emballe. Et qui manque un battement quand ça explose, et que tout s'éteint. Ce qu'il s'est passé, t'en as aucune foutue idée, mais tu vois plus rien, et t'entends juste le son de l'eau sous les pas de quelqu'un. De l'eau. Ca commence à s'infiltrer, tu le comprends facilement, mais ça fait rien pour calmer ton myocarde qui panique.

"Si on part défaitiste, c'est sûr, on va tous crever."

Tu sais pas si ça doit être encourageant ou pas, alors tu dis rien, t'essaies juste de trouver une solution à ce casse-tête morbide. D'ordinaire, t'aurais envisagé de trouver de la hauteur, mais la tôle du dépôt vous sera pas vraiment d'une grande aide.

"Je ne sais pas combien de temps on va tenir ici, mais on va prendre l'eau ça c'est sûr. Je crois qu'on ne devrait pas rester là."

Tu hoches la tête, même si tu sais pas trop si on t'a vu.

« Tu as raison, c’est comment ton petit nom ? »

T'es pas sûr que ça soit le moment des présentations, mais là encore, tu la fermes. T'es pas doué pour les sarcasmes, et t'as pas vraiment le coeur à ça de toute façon.

« Il n’y a pas moyen de monter sur le toit ?
- Avec la force des vents, même si son arrivait à monter, on finirait emporté par la tempête... Je sais pas si la chute est plus enviable à la noyade... Remarquez qu'au moins, ça serait rapide... »

T'es en train d'envisager le pire, tu t'en rends bien compte. Et tu passes une main nerveuse dans tes cheveux.

« Peut-être qu’on peut essayer de trouver une autre issue … je ne pense pas qu’on arrivera à stopper l’eau, il aurait fallu des sacs de sable pour l’empêcher de s’infiltrer. »

Tu regardes ce type-là dans la pénombre, effaré. Et une fois sortis, on fait quoi ? T'es franchement pas sûr que ça soit une idée grandiose. Non, rester un minimum à l'abri, et tenter au maximum de retarder l'arrivée d'eau, ça te semble moins inutile, à défaut de parfaitement sûr...

« On doit quand même pouvoir trouver des trucs... N'importe quoi pour colmater au maximum, retarder la montée des eaux... Non ? »

T'as pas l'air sûr de toi, mais ça n'a rien de surprenant quand on te connaît. Et tu fais le tour de l'assemblée des yeux, peinant à t'imprégner des visages que tu rencontres pour la première fois, cherchant l'accord dans le regard de l'un ou de l'autre...
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