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Sweet Home Louisiana

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La bokor
La bokor
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Age : 103
#Dim 8 Sep - 11:53
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

And we are trapped


Plus de bus pour repartir, enfin, si ils repartent un jour de cette station service qui semble n'être qu'une feuille de papier au milieu de ses vents. Mais au moins, ils sont à l'abri et au sec ici, avec de quoi manger et boire, c'est déjà ça.
Les minutes passent, des dizaines de minutes qui semblent des heures dans cette tempête, sans que rien n'arrivent. Seul le sifflement du vent se fait entendre, et les paroles et larmes des réfugiés angoissés et paniqués. Mais ça ne les empêche pas de discuter, de faire connaissance pour créer une bonne ambiance. Jusqu'à ce qu'une plaque de tôle du toit ne s'envole dans un affreux bruit. Si au départ ils ne comprennent pas ce qu'il vient de se passer, quand de l'eau se met à goutter du toit vers la caisse de la station service, le patron comprend.

- Une tôle du toit s'est envolée...

Lâche-t-il d'une voix blanche avant de chercher un seau pour le mettre sous l'eau qui goutte, bien qu'il sache que c'est certainement inutile. Et maintenant, la peur que d'autres morceaux du toit s'envole se fait présente, poussant les réfugiés à chercher une solution pour la suite, si jamais cela arrive... tout en rassurant les enfants et personnes fragiles présentes.

@Nick Spencer ; @Damon Smith ; @Poppy M. Holden  ; @Jack Williamson


Quelques informations sur l'intrigue


+ Il n'y a plus de réseaux téléphonique, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoire dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

code (c) rainmaker

Anonymous
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#Mar 10 Sep - 19:23
And we are trapped
Nick & Damon & Jack & Poppy


Plusieurs minutes s'étaient écoulées, plusieurs minutes dans l'incertitude la plus totale concernant notre sort. Certains discutaient entre eux, d'autres tentaient de calmer ceux qui étaient effrayés par la situation. J'avais décidé de fermer les yeux quelques instants avant de me réveiller, des enfants jouaient avec Rupert. Il était couché et se laissait manipuler par les petites terreurs. Je souriais face à ce spectacle, je me redressais et regardais autour de moi. La situation n'avait pas évolué. J'attrapais une barre de céréales que j'avais mis dans mon sac et grignotais un peu. L'atmosphère était faussement sereine quand un bruit se fit entendre et tout le monde sursautait. Ce nouvel évènement relançait une vague de panique. Le patron était le premier à avoir compris et il s'était exclamé à haute voix.

- Une tôle du toit s’est envolée… »

Nouvelle vague de panique qui envahissait l'assemblée, les pleurs reprenaient, les cris se faisaient à nouveau entendre. Je ne savais absolument pas quoi faire pour aider. Je m'étais levée et Rupert m'avait rejoint. Je me dirigeais vers les personnes avec lesquelles j'avais discutées jusqu'à présent.

- Vous avez besoin de quelque chose pour les enfants ? » C'était la seule chose que je voyais. Moi qui n'aimais pas trop leurs présences, voilà que je me mettais à m'inquiéter pour eux, comme quoi, à situations désespérées, réactions inhabituelles.
Anonymous
Invité
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#Mar 17 Sep - 20:28
On disait que la musique adoucissait les mœurs, en tout cas ça permettait de calmer les enfants, ce pourquoi Damon était plutôt reconnaissant, et c’était quelque chose dans la situation dans laquelle ils se trouvaient. Être coincé dans une station service en plein milieu d’un ouragan avec trois enfants à gérer qui n’étaient même pas les siens était à mille lieux du descriptif d’une situation acceptable pour lui. Après avoir chanté pendant un moment Damon entreprit de faire faire des petits jeux aux enfants afin de les occuper et qui ne dérangeraient pas les autres occupants infortunés de la station service. Mais ils devinrent lassés au bout de quelques dizaines de minutes et voulurent retourner jouer avec le chien. Les aboiements de la bête plus tôt n’avait pas rassuré Damon quant à l’idée de laisser les gamins jouer avec mais il céda finalement devant l’insistance des enfants qui à croire s’étaient ligués contre lui. Il chercha du regard sa maîtresse, voulant d’abord lui demander si les enfants pouvaient jouer avec l’animal, il finit par la trouver assisse entrain de se reposer, les yeux fermés, il haussa les épaules et décida de ne pas la déranger, et il indiqua aux enfants de jouer calmement avec le chien.

Il surveillait le groupe avec attention, écoutant d’une oreille inquiète les sifflement aigus et menaçant du vent à l’extérieur quand un bruit soudain le fit sursauter. Il regarda autour de lui, surprit, cherchant l’origine du son. Ça venait de dedans et s’il devait faire une hypothèse ça semblait provenir du plafond. Comme pour venir valider sa thèse le gérant de la station service annonça que c’était une tôle du toit qui s’était envolée. Damon avait blanchi, il retourna son regard vers les enfants. Ils avait cessé de jouer avec le chien et le regardaient, même s’ils semblaient inquiets, reflétant en fait sa propre inquiétude, ils ne paraissaient pas trop avoir conscience du danger de la situation ce qui rassura un peu Damon. Ce qui n’était pas le cas du reste de l’assemblée dont s’élevait des murmures paniqués. Damon inspira profondément, il fallait qu’il reste calme pour ne pas inquiéter les enfants. Il rassembla le petit groupe dont il était le responsable, tâchant non son mal de dissimuler sa nervosité. La maîtresse du chien, qui s’était présentée sous le nom de Poppy s’approcha pour demander s’il avait besoin de quelque chose pour les enfants. Ceux-ci par ailleurs prenant dans l’atmosphère tendue de la pièce commençaient à s’agiter. « On aurait bien besoin d’un endroit plus sûr… » Répondit-il sur un ton faussement léger. « Et vous ça va ? »    
Anonymous
Invité
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#Jeu 19 Sep - 21:49
Abby est toujours prêt de moi, la tempête fait rage dehors, le bus vient de se faire empaler, je me demande si notre maison tiendra. Qu’est-ce que je vais faire si elle est soufflée par le vent, u-est-ce qu’on va aller ? Ma voiture doit elle déjà être emporté. Je pense que je peux lui dire adieux. Le vent se fait plus fort. Je déteste être là et ne pouvoir rien faire. C’est frustrant de ne pas pouvoir contrôler les choses. Je déteste ça. J’ai entendu tout à l’heure la voix de l’homme avec les trois enfants, chantant une chanson pour les rassurer comme je l’ai fait avec abby. Je regarde l’homme et la jeune femme discuter, me sentant complètement à l’écart. Je n’ai jamais su réellement m’intégré, je suis bien trop parano pour ça. Je regarde toujours les militaires, d’un œil discret, mais je sens leur présence et ça me rappelle bien trop de souvenirs, de mauvais souvenirs. J’essaie de chasser ces idées quand je vois un bout de toit partir, merde. On n’est plus vraiment en sécurité. J’investirait dans un Bunker, au moins il ne pourra pas nous arriver grand-chose là-dedans.
La bokor
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#Dim 22 Sep - 21:43
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

And we are trapped


Une tôle du toit s'est envolée, et bientôt, une seconde s'envole aussi. Le bruit du morceau de métal qui se détache du toit résonne dans le petit magasin tandis qu'un autre filet d'eau se met à couler du toit. La panique augmente à l'intérieur de la station-service, et les réfugiés vont se mettre plus au fond de celui-ci, loin de l'eau qui tombent, certains priant silencieusement pour que rien ne leur arrive, d'autres cherchant une solution de repli. Et le propriétaire en a bien une: l'oeil de la tempête. Il n'en est pas à son premier ouragan, lui qui a grandi ici, et il sait que pendant quelques minutes voire dizaine de minutes, le vent va cesser, permettant donc aux réfugiés avec lui d'aller se mettre à l'abri ailleurs. Et il pensait à sa ferme familiale à quelques centaines de mètres. Il fallait aussi espérer que le chemin ne soit pas trop encombré d’embûches ceci dit.
Le temps passe doucement, mais la station tient bon, et quand l’œil de l’ouragan arrive, tous les réfugiés poussent un soupir de soulagement, avant d’écouter l’idée du propriétaire des lieux. Idée qui est acceptée, surtout qu’après l’enlèvement des plaques de bois sur les vitres du magasin, tout le monde peut constater que le bus est désormais inutilisable. Reprendre la route, c’est donc impossible. Alors profitant de l’accalmie, les réfugiés prisonniers prennent la direction du nouveau refuge qui leur a été proposé. Mais la progression est compliquée, les routes étant semées d’embûches qu’il faut contourner et éviter. Il faut aussi éviter de tomber, et c’est compliqué, preuve en est Poppy qui chute à cause d’un nid de poule qu’elle n’a pas vu, et se fait légèrement mal à la cheville, mais elle arrive à repartir avec l’aide des autres. Une vraie solidarité. La fille de Jack chute elle aussi, s’écorchant le genou, mais rien de grave, tandis que Damon s’écorche à cause d’une branche en marchant au niveau du bras gauche alors qu’il surveille les enfants sous sa charge. Et ils ne sont pas les seuls à se blesser.
Avec difficultés, alors que le vent commence à reprendre, tous atteignent la maison du propriétaire de la station-service. Elle n’est pas bien grande, mais tout le monde y tiendra, même serrés les uns contre les autres. En plus la maison est barricadée, ils y seront en sécurité, et pourront soigner les blessés et attendre la fin de l’ouragan dont les vents reprennent avec force dehors.

Pour info : pendant le calme, le réseau téléphonique est revenu pendant plusieurs minutes, faisant vibrer et sonner les portables allumés, permettant aux personnes d’en envoyer aux leurs pour leur donner des nouvelles.

@Damon Smith ; @Poppy M. Holden  ; @Jack Williamson
Quelques informations sur l'intrigue


+ Il n'y a plus de réseaux téléphoniques, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur. Il est revenu quelques minutes mais est reparti.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoires dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ S’il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

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Anonymous
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#Lun 23 Sep - 5:54
And we are trapped
Nick & Damon & Jack & Poppy


Avec ces deux morceaux de tôle envolées, la panique s'était réveillée et moi je restais silencieuse face au destin qui m'attendait. Je me levais pour tenter d'aider ce gens dont les enfants s'étaient amusés avec Rupert bien que je ne sois pas certaine d'être d'une grande aide. C'est là que le propriétaire émettait une idée. Il proposait qu'on profite du calme qu'offrait l'oeil de la tempête pour se rendre dans sa ferme familiale. Malgré moi, je me faisais la réflexion que la situation ressemblait de plus en plus au scénario d'un film d'horreur. L'idée était acceptée par la majorité et je retournais à ma place pour récupérer mon sac et Rupert. On se lançait alors à l'extérieur. Spectacle de désolation, on prenait enfin l'ampleur des dégâts, mais il fallait se dépêcher on n'avait pas le temps de tout détailler.

Dans la précipitation je ne voyais pas le nid de poule dans lequel mon pied s’enfonçait. Je sentais ma cheville se tordre et laissé s’échapper une plainte. Rupert aboyait. Des mains venaient rapidement à ma rencontre pour m’aider à terminer le chemin. Au moins, dans un cas comme celui-ci, tout le monde s’entraidait. « Merci » articulais-je dans ma barbe, Rupert sur mes talons. On arrivait enfin à la petite ferme et on s’engouffrait à l’intérieur. Le propriétaire barricadait les portes, aidé par d’autres. Je déposais mon sac au sol et m’assaillais pour voir l’ampleur des dégâts. Ma cheville n’avait pas l’air cassée où fêlée, surement une petite entorse. Je grimaçais. Prenant enfin toute l’ampleur des dégâts, mon anxiété refaisait surface et mon esprit vagabondait vers mes proches et vers Luka. Je savais que ma soeur et mon père étaient en sécurité, Wakeema aussi, mais Luka ? Ou était-il ? Je ramenais mes jambes vers moi et les encerclé de mes bras avant de poser ma tête dessus et de me perdre dans l’inquiétude.
Anonymous
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#Mar 24 Sep - 19:04
Le vent, la pluie, la tole qui part, tout ça n’a rien de rassurant. Tout ça ne peut pas durer. J’espère que ça se finira vite. J’espère qu’il n’y aura pas trop de dégats, que ma maison tiendra, que tout ce que j’ai construit ici ne sera pas parti en fumé. Je suis coincé ici et ça commence à faire un moment. Je ne supporte pas d’être autant entouré et cerné par les militaires. Je les vois d’un mauvais œil. Je sais que je n’ai pas été le meilleur d’entre eux et j’aurais pu faire ce qu’on me demander, mais j’ai refusé et maintenant je suis considéré comme un fugitif. Je n’ai pas envie d’être coincé ici encore longtemps avec eux. On fini par s’en aller vu l’état du local, la maison du propriétaire n’est pas loin et il nous laisse tous entrer.
Je laisse ma fille aller rejoindre les autres enfants, elle est beaucoup plus sociale que moi et elle tire la manche de l’homme qui accompagne les trois enfants et je la vois tomber et se relever. Je m’approche d’elle mais elle me dit que ça va, que c’est juste une égratignure. Je reste quand même prêt d’elle et elle rejoint l’homme et les trois enfants et la jeune demoiselle avec eux :

« Tu peux rechanter une chanson ? Tu chante bien. Je veux chanter aussi plus tard. Mon papa aussi il chante vous pourriez faire un duo même un trio avec la jolie dame rousse. »

Je souris. Un peu de douceur dans ce monde de brut. Elle me surprendra toujours. Je ne sais pas ce qu’il en pensera, mais si ça peut adoucir tout le monde, pourquoi pas. Je fini par dire encourageant ma fille dans sa démarche :

« Je suis partant si vous l’êtes aussi. »


Je ne sais pas ce qu’il en pensera peut-être qu’il trouvera ça incongru et inapproprié, mais on peu essayer de détendre l’atmosphère et de rendre les choses plus agréables.

« Et vous Poppy qu’en dites-vous ? Vous ne vous êtes pas faite mal ? »


J’ai remarqué qu’elle était tombée et j’espère qu’elle n’a rien de cassé, que c’est comme ma fille juste une égratignure.
Anonymous
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#Dim 6 Oct - 10:03
And we are trapped
Nick & Damon & Jack & Poppy


Des ouragans ont en a déjà vécut quelques-uns, mais on avait toujours évacués à temps, mon père nous pressant toujours avec Bluebell pour qu'on fasse nos paquetages et qu'on prenne la route pour un endroit sûr. Pourtant, avec l'indépendance, j'avais presque oubliée d'être raisonnable. Je n'avais pas voulu partir. Pourquoi ? J'avais tellement à perdre à la Nouvelle-Orléans. La boutique, les quelques amis que je m'y étais fait, Luka… Pourtant, je m'étais résignée et j'étais finalement partie, trop tard. L'ouragan avait frappé plus tôt que prévu, nous obligeant à nous réfugier dans une station essence pas prête du tout à nous protéger d'un tel événement naturel. Au début on y croyait, un peu, mais lorsqu'une partie du toit s'était envolée, la panique avait envahi notre groupe. Des enfants, des hommes et des femmes, des personnes âgées, aucun que je connaissais, j'allais mourir avec mon chien, la sensation d'être seule en tête. Sentiment horrible que d'avoir l'impression de partir sans avoir accomplie tout ce que l'on voulait accomplir.

J'essayais d'être dans le moment présent, j'essayais d'aider comme je le pouvais. Offrant mon sac de couchage, proposant aux enfants de jouer avec Rupert afin de les apaiser, mais mon esprit était ailleurs. Il vagabondait entre ma famille, Wakeema et Luka. Toujours Luka. Une expérience de mort pouvait-elle nous faire prendre conscience d'autant de choses ? Ma mère s'était enfuie, nous laissant derrière elle, me donnant le sentiment de ne pas avoir été désirée, aimée. Me complexant à vie sur le sentiment amoureux, sur cet amour inconditionnel qu'on était censé éprouver pour ses proches. Bien que je sache qu'au fond de moi j'aimais profondément mon père et ma soeur, je n'avais jamais réussi à le leur dire. Pour Wakeema, c'était un peu différent. Elle était ma meilleure amie depuis quelques années maintenant et elle ne m'avait jamais failli, une amitié réelle et sincère existait entre nous, mais j'étais incapable de lui rendre l'affection qu'elle me portait. Luka était plus qu'un simple ami, plus qu'un simple amant, mais j'étais incapable de l'accepter, même dans une situation comme celle-ci. J'entendais les gens autour de nous se dire qu'ils s'aimaient que ce soit des couples, des parents et leurs enfants, des amis… Mais c'était quoi exactement l'amour avec un grand A ? Cette inquiétude pour mes proches grandissait et mon coeur se serrait.

La tempête s'était calmée et on avait fini par sortir de la station pour courir vers la maison du propriétaire des lieux. On y serait plus en sécurité, c'était indéniable. Pourtant, quand on avait mis les pieds dehors, j'avais pris conscience du chaos qui régnait vraiment. En courant, Rupert sur mes talons, je n'avais pas vu le nid de poule et je m'étais tordue la cheville. La douleur vive m'avait aveuglée pendant quelques secondes, mais il ne fallait pas trainer. Heureusement, quelques personnes étaient venues à ma rescousses et nous avions reprit le chemin vers la maison. Je m'asseyais, regardais l'état de ma cheville, elle n'était pas cassée, mais elle avait commencé à gonfler. Je levais les yeux vers un homme et sa fille que j'avais déjà côtoyée à quelques reprises dans la station essence. Le même petit groupe se reformait ici. La petite voulait entendre son père et Damon chanter. Elle voulait que je me joigne à la partie. Jack s'adressait alors à moi.

- Ma cheville n'est pas cassée, mais je pense que c'est une sacrée entorse tout de même. » Je souriais difficilement. Avais-je envie de chanter là tout de suite ? « Pourquoi pas pour une petite chanson. » La musique faisait partie de ma vie depuis toujours. Mon père, chanteur et musicien, nous avait transmis cette passion. Rupert venait se coller à moi une nouvelle fois et je le serrais dans mes bras.
Anonymous
Invité
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#Mar 15 Oct - 19:40
La tempête est toujours là et j’aimerai qu’elle s’arrête. J’aimerais que tout s’arrête, mais je sais que ce n’est pas comme ça que ça marche. Alors je fini par rassurer ma fille, mais elle à la bougeotte et elle aime être près des autres, tout le contraire de moi. Je suis distant et à l’écart, même si je me préoccupe de l’état de cette jeune demoiselle qui s’est tordue la cheville. Elle n’a visiblement rien de grave et c’est tant mieux. Ma fille nous demande si on peut chanter, ça rassurerait peut-être tout le monde et j’acquiesce avant de demander aux autres ce qu’ils en pensent et Poppy à l’air d’accord.

« Vous aimez quel genre de musique ? Je crois que je suis un peu vieux jeux. »


J’ai un petit sourire. Je ne suis pas très moderne c’est sûr, mais pour ma défense j’ai presque cinquante ans et je n’ai pas connu toutes les musiques d’ici. En Russie on avait beaucoup de chanson traditionnelle, de chansons russes et les chansons internationale n’étaient pas forcément développés à mon époque. J’ai commencé à connaître la musique quand je suis arrivé à Londres. J’ai écouté les Beatles et Queen, AC/DC, Metallica, ce genre de musique puis en arrivant ici j’ai découvert Elvis Presley, Prince, Michael Jackson, Madonna. Je ne suis pas tellement au courant des nouveaux artistes, surtout par ce que je ne m’y intéresse pas beaucoup.
La bokor
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#Mer 23 Oct - 19:25
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And we are trapped


L'équipée pour fuir à Bâton-Rouge a vraiment mal tourné pour le bus de réfugiés, mais une fois dans la maison du pompiste, ils se sentent déjà bien plus en sécurité que dans sa petite boutique de tôle et de briques.
Les premiers soins sont administrés aux blessés, tandis que certains réfugiés se mettent à chanter pour détendre l'atmosphère et cela semble fonctionner, bien que le vent continue à souffler fort dehors, donnant par moment quelques frayeurs. Grosses frayeurs même. Mais la maison tient bon jusqu'à la fin de la tempête, et continue même à servir de refuge pendant de nombreuses heures après. Les militaires ont quitté la maison dès la fin de l'ouragan pour aller chercher des secours, et cela fonctionne, puisqu'ils reviennent de nombreuses heures plus tard avec un bus qui roule et en bon état pour finalement amené les réfugiés à leur première destination: Bâton-Rouge. Là-bas ils recevront des soins complets, mais aussi de la nourriture et des vêtements chauds et secs au besoin, et seront gardés en sécurité jusqu'à ce que les autorités autorisent le retour à la Nouvelle-Orléans, grandement touchée par Donald, ce que les réfugiés du bus ne savent pas encore.


@Damon Smith ; @Poppy M. Holden  ; @Jack Williamson


Résumé rapide

Hors les quelques légères blessures du voyage jusqu'à la maison, les réfugiés n'ont pas plus été touchés, si ce n'est mentalement. L'ouragan fut une véritable épreuve pour beaucoup, mais elle est passée sans grand choc.


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