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Sweet Home Louisiana

Anonymous
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#Sam 18 Juil - 16:10

Some are a melody and some are the beat.
Some are a melody and some are the beat ❊ Anna Tumblr_os86tsCGOW1rmyfvko2_250Some are a melody and some are the beat ❊ Anna Tumblr_inline_ntlv19FFV11qlt39u_250


L’air chaud du début d’été Louisianais caresse le visage de Jolene qui, allongée dans l’herbe du parc de Pilsbury, profite de bouquiner aux côtés de son chien, écrasé par la canicule. Il mâchouille un bâton avec lassitude, la chaleur ambiante semblant peser sur sa longue silhouette et le privant de son enjouement naturel. Le regard de Jo passe de son bouquin à Tao qui se replace vers elle et pousse un petit soupir. L’ombre que l’arbre sous lequel ils sont installés leur procurent à tous les deux un peu de répit et une légère brise se lève, aussi fugace qu’agréable. Le livre que Jo lis est intéressant, certes, mais il ne parvient pas à la capter assez. Un bouquin qui relate les aventures d’un archéologue passionné et passionnant qui a retrouvé les vestiges d’un mosasaurus et qui tente de valider sa thèse. Une sorte d’Indiana Jones de la littérature qui, si la chaleur n’était pas si écrasante, aurait sans doute parvenu à plonger la petite irlandaise dans l’univers fascinant du roman. Cependant, il n’en est rien. L’atmosphère écrasante la fatigue plus que de raison et après une demi-heure de lecture dans le vide, elle finit par capituler et par fermer l’ouvrage d’un petit coup sec. À quoi bon ? Sa concentration est ailleurs. Elle se redresse, étire son dos de tout son long sous le regard intrigué de son dalmatien, avant de se lever et de frotter ses jambes pâles couvertes de brins d’herbe. Bon, mon p’tit gars. On marche quand même un peu ? Tao semble comprendre l’idée de son humaine et s’aplatit davantage dans l’herbe fraîche, lui lançant un regard suppliant. Allez, allez… Je sais qu’il fait chaud, bonhomme, mais ensuite on rentrera à la maison et tu pourras profiter du carrelage frais de l’appartement, d’acc ? Avec peine, il se redresse, s’étire à son tour et s’ébroue, avant de venir s’assoir à son pied.

La promenade a été aussi peu concluante que sa lecture. Elle n’a pas l’habitude d’une telle chaleur, elle qui vient du nord de l’Europe, et les températures élevées lui donne l’impression de devenir bête. Ils ont marché un bon petit bout, quittant le Lisbury Park pour rejoindre la Lakeview Baptist Chruch, qui, comme de nombreuses églises de la région, s’impose autant qu’elle détonne dans les quartiers de Louisiane. Jo aime observer ces monuments. Elle n’est pas croyante pour un sou mais adore admirer l’œuvre de ces pieuses personnes qui ont donné temps et sueur pour bâtir de tels monuments. Même si elle n’est ni croyante ni pratiquante et qu’elle voit en la religion bien plus de problèmes que de solutions, elle doit l’admettre : c’est beau, cette dévotion qu’ont certains. Tao s’en fiche pas mal, tant de l’église que du reste et s’empresse de faire ses besoins avant de tirer sa propriétaire en direction de leur maison. Cette attitude amuse Jolene qui le réprime – elle ne supporte pas qu’il tire en laisse – avant de poursuivre leur petite marche et de regagner son appartement. L’atmosphère dans son studio est presque aussi étouffante qu’au dehors, hormis le sol en pierre qui parvient à rester frais. Tao s’étale de tout son long sous le regard inquisiteur du chat et indique à Jolene qu’avant tard ce soir, il n’est même plus la peine de tenter de lui demander quoi que ce soit. Le silence l’apaise quelques instants alors qu’elle se laisse tomber sur son vieux matelas. Distraitement, elle attrape son livre pour une nouvelle tentative mais elle voit bien que sa concentration n’y est pas et que cela ne serre à rien. Si elle continue à vouloir forcer, elle oubliera tout de sa lecture, comme ces foutus théorèmes où Pythagore et Thalès se partageaient la palme d’or de l’ennui mortel. À l’époque, elle s’était appliquée mais le cœur n’y était pas et désormais, elle serait bien incapable de les réciter, autant l’un que l’autre…

Elle erre dans son appartement, Jo, en ne sachant que faire, lorsque son regard se pose sur le dépliant du festival de la NOLA qu’elle a reçu, quelques jours plus tôt, dans sa boîte aux lettres. Après avoir parcouru le programme, elle est habitée d’un nouvel élan de motivation et c’est le sourire aux lèvres qu’elle file prendre une douche glacée avant de se changer et de repartir. Après quelques arrêts de tramway et quelques minutes de marche, elle arrive au parc où se tient l’évènement. L’endroit a presque été métamorphosé depuis la dernière fois qu’elle y est venue. Tout a été décoré et installé avec soins pour permettre au festival de prendre vie au centre de Treme. Des guirlandes lumineuses pendent et s’accrochent dans les arbres, donnant certainement une ambiance féérique au lieu lorsque le soleil disparait. Le regard azuré de Jo parcourt le lieu entièrement recouvert de monde avec délectation. De nombreux groupes de tous les âges sont installés dans la pelouse et dégustent bières fraiches et tapas à gogo, une musique d’ambiance jazzy diffusée dans le secteur. Ses pas la mènent à divers stands où elle profite de s’acheter de quoi se rafraîchir un peu avant de poursuivre sa découverte. La chaleur écrasante est toujours présente mais semble être devenue complètement secondaire lorsque Jo arrive devant une petite scène où elle reconnait quelques connaissances du bar où elle se rend régulièrement le jeudi. Une petite foule se forme autour d’une table et, intriguée, Jo interroge un des types qu’elle connait : « C’est une sorte de concours. Tu t’inscris pour chanter en karaoké et ils vont te mettre avec quelqu’un d’autre au hasard pour former un duo. Vous allez ensuite avoir quelques minutes pour vous concerter, avant de monter sur scène, devant le jury. Y a plusieurs critères pour gagner des points, tu devrais aller voir ! » Large sourire alors qu’elle hoche la tête, amusée par l’idée, avant de s’approcher de la petite table où elle donne son nom et récolte les informations nécessaires. « On va annoncer les binômes dans une dizaine de minutes, attendez par ici ! » lui souffle l’organisatrice alors que Jo observe les visages qui l’entourent. Elle hoche la tête et s’éloigne un peu du groupe de gens, avant de s’assoir dans l’herbe fraîche et de s’allumer une cigarette, sourire aux lèvres.

Après quelques minutes, la jeune femme qui a reçu l’inscription de Jo monte sur scène et se présente. « Alors, je vous réexplique le concept : vous allez être mis en binôme, par hasard, avec un autre participant. Une chanson vous sera imposée et vous aurez quelques minutes pour discuter avec votre partenaire, avant que nous lancions le jeu. À tour de rôle, les duos vont passer devant le jury – ici présent – et seront jugés sur les points suivants : interprétation de la chanson – complicité du binôme – chorégraphie ou originalité. Bien évidemment, nous sommes conscients que vous n’avez pas beaucoup de temps de préparation, les juges seront donc tolérants pour l’attribution de certains points ! Je vais maintenant appeler les groupes et vous invite à rechercher votre partenaire rapidement. Amusez-vous bien ! » Mark et Laura, Julian et Soan, Anna et Jolene. L’irlandaise relève la tête et se remet debout, son regard parcourant le groupe de gens et observant les groupes se former. Rien ne sert de se précipiter, pas vrai ? Après quelques instants, elle repère une jeune fille qui doit avoir le même âge qu’elle et qui, visiblement, est aussi perdue qu’elle. Elle s’approche, souriante, avant de lancer : Hey. Je suis Jo. Tu es Anna, c’est ça ? Elles ont à peine le temps de se présenter que déjà un organisateur s’approche d’elle : « Et voilà, les filles, votre chanson et quelques consignes ! Préparez-vous. Dans 10 minutes, ça commence ! » Il disparait déjà dans la foule, laissant dans les mains d’Anna une petite enveloppe qui contient le nom de la chanson qu’elles devront interprétée ainsi qu’un lecteur de cassettes oldschool et une paire d’écouteur.


Moses.

Anonymous
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#Jeu 30 Juil - 19:27
Some are a melody and some are the beat
Comme à chaque fois que j’avais quelque chose qui me torturait l’esprit, je me retrouve à un karaoké. Bon pas n’importe lequel ! Cette fois-ci, je suis en plein milieu du festival de La Nouvelle Orléans. Prête à donner de la voix dans un duo improvisé avec une personne totalement inconnue. Enfin inconnue est un bien grand mot que je vais vite découvrir comme faux. Mais commençons par le début ! Depuis ce matin, j’ai de grosses nausées. Mais pas depuis le réveil non, je ne fais rien comme les autres. Les miennes débutent vers 11 heures du matin et me tienne sous pression jusqu’au moment du coucher. Enfin plutôt jusqu’au moment où mes yeux se ferment enfin pour une nuit bien méritée. Alors non, je ne vomis jamais, mais je ne mange que très peu et je suis nauséeuse quasiment toute la journée. Pire, je suis enceinte d’un gars que je n’ai connu qu’une nuit. Un accident de capote lors de la seule nuit de débauche de toute ma vie et hop, je tombe enceinte. Même la pillule du lendemain n’y a rien fait ! Donc je suis malade, mais aujourd’hui, je ne veux pas rester enfermée chez moi à ruminer, ni même demander à mes collègues du Starbucks pour avoir des heures supplémentaires. Non aujourd’hui, je veux totalement me vider la tête. Je ne veux pas m’expliquer ni éviter les gens pour qu’ils ne remarquent pas mon état. Surtout que chez moi, dans la villa Lake, tout le monde se marche sur les pieds et ne cessent de se croiser pour un oui ou un non. Alors me voici au festival !

Je suis vêtue d’un short noir, pas trop court et d’un tee shirt à l’effigie d’un groupe de rock des années 80. Je n’ai pris le temps que de passer la brosse dans ma chevelure. Et puis, pas besoin de maquillage, je ne suis pas le genre de femme à devoir avoir un palette de couleur sur le visage pour me sentir bien. J’attends mon binôme, la tête totalement ailleurs, rêvassant à ce que va devenir ma vie avec un petit bout. Lorsque j’entends mon surnom, je lève la tête, regarde autour de moi pour trouver la fameuse Jolene. J’aime bien rencontrer d’autres personnes, des gens que je n’aurais pas rencontrées autrement. Je suis du genre sociable et j’aime beaucoup parler, de tout de rien. Ca m’a souvent aidé depuis que je suis toute petite ! Mais je crois que c’est la demoiselle qui m’a découverte en premier. Son visage, sa chevelure blonde, elle me dit quelque chose mais quoi ? Je ne dis rien, je me dis qu’elle me reconnaitra bien si c’est le cas. Combien de fois ne tombe-t-on pas sur des gens qui ont des visages familiers alors que ce n’est qu’une impression ? « C’est bien ça ! » Mais on ne nous laisse pas du tout le temps d’en dire plus qu’une enveloppe finit entre nos mains. Je regarde ma coéquipière pour le jeu, amusée comme une enfant. J’aime bien ce genre de situation, de jeu. C’est le style de moment qui me permettent d’oublier tout le reste. J’appuie alors sur play après avoir donné un des deux écouteurs à Jolene. Et là, j’éclate de rire ! La chanson bateau ! I love Rock’n’Roll de Joan Jett. J’adore cette chanson, on peut faire plein de choses sur une musique pareille. J’avoue que tout est possible. Bon, j’ai pas la meilleure voix, je ne chante pas comme les plus grandes voix, mais sur cette musique là, je vais me débrouiller. Je fais aller ma tête en rythme que la musique avance et je me mets même très rapidement à chantonner. Je regarde ma coéquipière et je finis par lui dire parlant un peu plus fort pour surpasser la musique qu’on a dans les oreilles « Ca va ! Je sens qu’on va bien s’amuser ! » Je n’en doute pas une seule seconde.

Mon téléphone sonne dans ma poche, enfin vibre pour être plus précise. Je n’attends pas que la cassette soit finie. Je me contente d’enlever mon écouteur de mon oreille. C’est comme ça depuis l’overdose d’Alex. Si il sonne, je ne perds pas une seule seconde pour y répondre.  Un message de mon père, ça ne semble pas grave, mais je préfère le regarder. Pour ça, je dois déverrouillé mon téléphone. D’ailleurs mon écran de verrouillage est une photo de Scott, Alex et moi. Une photo que j’aime pour une journée à trois que je n’oublierai jamais, surtout vu le grand sourire que nous arborions tous les trois. Le message, juste pour me demander si je mange ce soir avec tout le monde ! Je réponds au plus vite en m’excusant à la jolie blonde « Excuse, je suis toute à notre chanson maintenant ! » Je reprends l’écouteur qu’elle me tend, puis je finis par lui demander « On fait comment ? Chacune un couplet et le refrain à deux ? Qui commence ? » On n’a pas beaucoup de temps pour tout mettre en ordre, pour nos idées et tout, donc je ne perds pas de temps !
code by exordium.


Anonymous
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#Sam 22 Aoû - 21:41

Some are a melody and some are the beat.
Some are a melody and some are the beat ❊ Anna Tumblr_os86tsCGOW1rmyfvko2_250Some are a melody and some are the beat ❊ Anna Tumblr_inline_ntlv19FFV11qlt39u_250



L’ambiance est à son comble devant la petite scène et, suite à l’annonce de l’animatrice, la foule se mouve. Chacun recherche l’autre. Chacun dévisage, observe, demande et s’intéresse à l’autre, l’espace d’un instant. Les cheveux clairs de Jo se mouve dans la brise légère qui s’est levée, rendant un peu plus agréable les températures estivales élevées de la Nouvelles-Orléans. À peine sa partenaire trouvée, on leur fourre une enveloppe bien chargée dans les mains et le compte à rebours et lancé. 10 minutes. C’est le temps qu’elles auront pour préparer leur représentation. Elles se lancent un petit regard complice en enfilant leur écouteur dans leurs oreilles respectives. Les premières notes fusent et leurs rires s’unissent en un concerto cristallin. Jo porte une main à sa bouche, secoue la tête et arbore un large sourire. Elle fredonne les chansons, secoue déjà la tête et rit de bon cœur, quand elle voit Anna se raidir légèrement, retirer son oreillette et sortir son téléphone de sa poche.

Si Jo est de nature curieuse, la vérité c’est que là, elle ne fait clairement pas exprès de poser ses prunelles azurées sur l’écran du téléphone d’Anna. Son cœur loupe un battement dans sa poitrine alors qu’elle voit les doigts de la brunette pianoter sur le clavier. A-t-elle au moins bien vu ? Était-ce bien Alex, souriant et bouclettes au vent en fond d’écran ? Ok, elle ne connait pas le brun depuis très longtemps, c’est vrai… Mais elle est comme ça, Jo, elle s’attache bien trop vite. Et si le souvenir de sa dernière soirée avec lui provoque une boule dans sa gorge, le voir en fond d’écran sur le portable d’une parfaite inconnue – extrêmement belle en plus – lui perfore l’estomac. Sa petite voix s’en donne à cœur joie, cependant, alors qu’elle n’écoute plus la voix tiraillée de Joan Jet et qu’elle tente de chasser toutes les pensées qui l’envahissent. « Si la soirée était si mauvaise l’autre fois, c’est de ta faute. Tu es si inintéressante. » « Pas étonnant, qu’il n’ait pas passé un bon moment avec toi. » « De toute façon, tu n’avais aucune chance avec ta peau trop claire, tes yeux trop bleus et ton excentricité. » Et j’en passe. Elle se mord la lèvre inférieure, Jo, tentant désespérément de faire taire cette horrible petite voix à l’intérieur de sa tête. Elle a simplement l’air concentré, mais la vérité, c’est qu’un tsunami déferle dans son esprit. Et puis… Pourquoi diable cela la préoccupe-t-elle autant ? Ce n’est pas comme si … Comme si elle commençait sérieusement à s’attacher à lui, pas vrai ? Cette idée la perturbe, la fait réfléchir et assombrit son regard clair alors qu'elle tente, au milieu d'une foule et Joan hurlant dans ses oreilles, de se poser les bonnes questions. Première mauvaise idée.

La voix d’Anna la sort de sa rêverie et elle sursaute presque, avant de lui adresser un petit sourire et de retirer à son tour son écouteur. Euh, pas de soucis ! souffle-t-elle avant d’esquisser un piètre sourire. Son trouble semble bien trop évident et ça l’énerve, alors elle arbore un air plus jovial d’un coup et lâche, d’une voix faussement enjouée Bon et bien ! Au moins, on va avoir une chanson qui mettra l’ambiance ! plaisante-t-elle. Elle n’a réellement aucune envie d’être intrusive et de poser la question qui lui brûle les lèvres, alors elle se contente de sourire et d’enrouler l’écouteur autour de son index, avant de froncer les sourcils. Il faut qu’elle se concentre désormais et elle se met  à réfléchir laissant s’échapper le flot de ses pensées pour un moment. La musique a cette faculté-là, chez Jo, de lui faire tout oublier rapidement pour la ramener à l’essentiel. Et l’essentiel, en l’occurrence, c’est le show qu’elles doivent réussir à monter en très très peu de temps. Lorsqu’elle reprend la parole, elle a des airs de petit chef d’orchestre. Le doigt en l’air, elle fait la moue et se laisse emballer par ses idées : Je propose que tu commences, si tu n’as pas trop le trac ? Je te vois bien… Jo l’examine, souriante Je te vois bien t’avancer sur scène avec un air de femme fatale, pour le premier couplet. J’interviens pour le refrain en chœur et ensuite, je reprends le 2e couplet avec des airs de drôle de dame !

La blondinette se mord la lèvre inférieure, réfléchissant à mille à l’heure. Son excentricité doit provoquer des interrogations chez Anna, sans doute, mais elle s’en fiche pas mal. Elle voit trop bien la scène, à dire vrai. Et pour la fin, on peut se répondre l’une l’autre ? Si tu vois ce que je veux dire… On partage la dernière partie en deux, une phrase chacune, comme si on échangeait ? Son explication ne lui semble pas claire, alors elle fait la moue, Jo. Elle a horreur de ne pas pouvoir exprimer ses idées clairement, dans ce genre de moment, mais elle passe déjà du coq à l’âne : Il va nous falloir une chorégraphie ! clame-t-elle en tapant son poing dans sa paume d’un air décidé, avant de se rendre réellement compte de son attitude un peu trop dirigeante. Alors un rire s’échappe, naturel et doux et elle secoue la tête.   Désolée, je me prends un peu trop au jeu, je crois ! lorsqu’elle croise les prunelles d’Anna, cependant, c’est le visage d’Alex qui lui revient en pleine face et sa question qui lui brûle la gorge.   Si tu ne te sens pas de commencer, on peut faire l'inverse... À moins que tu aies une autre idée ?


Moses.

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