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La bokor
La bokor
Admin
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#Lun 19 Aoû - 21:20
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Hospital


L'ouragan Donald arrive sur la Nouvelle-Orléans, avec plus d'un jour d'avance par rapport à ce que les météorologues ont annoncé. La ville n'est pas totalement prête à l'affronter, l'évacuation des habitants n'est pas terminé, alors ceux qui sont encore là, cherchent refuge dans les lieux les plus proches. La ville est en alerte maximale, les habitants restants ont pour ordre de se barricader et de quitter les rues au plus vite. Seuls les forces de l'ordre et les secours ont le droit de circuler. Mais malgré cela, les urgences des hôpitaux reçoivent les premiers blessés. Entre cas grave et bénin, les médecins doivent faire le tri.
Dehors le vent souffle à plus de 140 km/h pour le moment, l'électricité est vacillante et le générateur de secours a pris le relais depuis deux heures maintenant. Les patients affluent de plus en plus nombreux et les urgences se retrouvent saturés, mais aucun personnel médical ne cède à la panique. La logique et l'ordre prime. Ainsi, au coeur de l'hôpital, divers destins se jouent.

@Arianell M. Jenkins ; @Alix Grant ; @Nathan Savoy-Keynes ; @Dean T. Walker ; @Rafaël Desrosiers

Arianell, infirmière en pédiatrie tu as été envoyée aux urgences pour palier au manque d'effectif. Te voilà à t'occuper des patients qui arrivent, à trier les cas, faisant passer en priorité les cas les plus graves.
Alix, alors que tu tentais de quitter la ville pour rejoindre ton frère dans les terres qui a proposé de t'accueillir en raison de ta grossesse, tu as soudainement ressenti une violente contraction qui t'a fait perdre le contrôle de ta voiture et rencontré celle de Nathan. Celui-ci t'a conduit à l'hôpital en voyant que tu étais enceinte et que tu allais accoucher.
Nathan , tandis que tu roulais sur la route, après avoir mis ta famille en sécurité, en direction du poste de police où toute les forces sont attendues pour faire face à l'ouragan, ta voiture a rencontré celle d'Alix. Dieu merci, avec la pluie qui tombait, aucun de vous n'allez vite si bien qu'il n'y a pas de grosses blessures. Mais en constatant que la femme qui t'es rentrée dedans était enceinte et visiblement sur le point d'accoucher, tu l'as conduit aux urgences les plus proches, et depuis tu es toujours à ses côtés, puisque les vigiles ne laissent personne quitter l'hôpital. C'est bien trop dangereux désormais.  (Possibilité de proposer son aide au personnel hospitalier si tu le choisis).
Dean, médecin à l'hôpital, avec l'ouragan tu as été mis d'astreinte, et te voici aux urgences à t'occuper des blessés qui arrivent, amenés par les services de secours ou venant de leur propre chef. Ca va être une longue journée, encore plus avec les coupures d'électricité, mais tu ne baisses pas les bras et fonce.
Rafaël, alors que tu intervenais pour porter secours à des automobilistes coincés dans une voiture à cause de la chute d'un arbre, tu t'es pris une branche qui volait à l'arrière du crâne, ce qui t'a sonné. Les ambulanciers présents t'ont pris en charge et emmené aux urgences, tant ils soupçonnent un possible traumatisme crânien. Tu as d'ailleurs des hallucinations.


Quelques informations sur l'intrigue


+ Il n'y a plus de réseaux téléphonique, du coup impossible de joindre vos amis et familles à l'extérieur.
+ Vous répondez quand et comme vous souhaitez ! Vous n'êtes pas obligé de faire les 300 mots obligatoire dans les autres RPs, afin de faire avancer au plus vite l'intrigue.
+ La Bokor peut intervenir à tout moment
+ Si il y a un soucis ou une question, n'hésitez pas à contacter @Alix Grant

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Anonymous
Invité
Invité
#Mar 20 Aoû - 19:19
Hospital
Arianell avait jusqu'ici toujours réussi à fuir les ouragans, se réfugiant à Lafayette, chez sa mère, avant que ça n'arrive sur la Nouvelle-Orléans. Mais cette fois, elle n'avait pu se défiler. Elle était célibataire - officiellement - et sans enfants, l'hôpital l'avait donc réquisitionnée pour traiter les urgences.

Elle était habituellement en pédiatrie, et le fonctionnement du service d'urgences n'était pas son fort, elle qui n'aimait pas travailler sous pression. Elle avait donc passé la matinée à ranger et essayer de retenir où était le matériel donc elle pourrait avoir besoin, priant pour que tout se passe bien et que les habitants restés sur place restent en sécurité.

Elle avait déjà envoyé plusieurs sms à Alienor, quans ils avaient encore du réseau, mais son amie ne lui avait pas rencore répondu - et ne lui répondrait certainement pas, vu leurs dispute au retour de New-York. Elle avait aussi essayé de joindre Liam, mais la connexion s'était coupé à ce moment-là, et elle ne pouvait qu'espérer qu'il soit resté à Bâton-Rouge avec Alienor et Jimmy... Il pouvait partir, elle espérait donc qu'il en avait fait le choix.

Le stress la barbouillait depuis le matin, lui donnant la nausée, et elle n'avait pas encore réussi à avaler quelques chose. Il lui faudrait pourtant tenir de longues heures, mais les plateaux-repas de l'hôpital n'étaient pas le truc le plus apétissant du monde...

Alors qu'Arianell tentait de boire son thé, luttant contre l'envie de vomir, du bruit à l'extérieur la fit sursauter. Elle se releva brusuqement, manquant de faire tomber son thé mais elle rattrapa finalement la tasse in extremis, ne laissant que quelques gouttes d'eau sur la table. Elle les essuya rapidement avec un sopalin, avant de sortir du poste de soins. Il y avait de l'agitation à l'entrée des urgences, et elle s'empressa d'ouvrir la porte, espérant avoir affaire à des réfugiés et pas à des blessés.

« Faites que tout aille bien » marmonna-t-elle tout en observant les nouveaux venus.
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Alix Grant
Alix Grant
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DC : Alix, Megane, Anya, Evelyne, Enola, Caleb, Adaline, Eowyn, Freya-Astrid, Astrée, Maia, Skye, Lexie Age : 31 Lieu de vie : Lakeview, dans une belle maison à étage avec sa fille Occupation : Analyste au NCIS de la Nouvelle-Orléans depuis plusieurs années maintenant. Maman le reste du temps. Statut civil : Veuve depuis le 29.07.2020. Un drame qui l'effrayait et qui a fini par arriver. Une douleur immense en son coeur, un chagrin que rien ne peut réconforter. Maman d'une petite fille de 4 ans, le rayon de soleil de sa vie.
#Mer 21 Aoû - 10:39
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Hospital


Alix et Levi s'était mis d'accord: la jeune femme n'allaitpas rester à la Nouvelle-Orléans pendant l'ouragan, il en était hors de question. Elle devait évacuer. Façon, son fiancé ne lui laissait pas le choix, et puis la brune n'avait pas non plus envie de rester. Les ouragans, elle connaissait et n'avait jamais aimé ça, donc pas question de rester seule en ville. et puis, grâce à son frère, elle avait trouvé la solution de repli parfaite: aller chez lui, dans son immense propriété dans les terres, au nord de Bâton Rouge. 
C'est donc dans cette direction que la jeune femme prit la route, après avoir bien verrouiller son domicile et  barricader comme elle pouvait la porte d'entrée, seule endroit non barricadé de la maison encore. Et puis, elle s'était mise en route. Sauf que nombre d'habitants avaient choisi le même moment qu'elle pour quitter la ville, et elle se retrouva prise dans de fichus bouchons. Comme si elle ne stressait pas assez. Stress qui, elle le savait, se répercuter sur sa grossesse, et malgré toutes les techniques de relaxation qu'elle connaissait, elle n'arrivait pas à s'apaiser, surtout qu'elle sentait par moment des contractions. Mais tellement elle était dans son stress, elle n'y faisait pas vraiment attention, plus focalisée sur la route et la pluie qui tombait fortement, l'aveuglant presque. 

Bloquée depuis de longues minutes au même endroit, Alix, quelque peu agacée, choisit de prendre une rue perpendiculaire pour prendre un raccourci et quitter cette ville de malheur. Enfin c'était son objectif, mais celui-ci fut rapidement contrarié. Alors qu'elle roulait doucement sous la pluie qui tombait drue, elle perdit soudainement les eaux, et la surprise lui fit quitter les yeux de la route, perdant le contrôle de son véhicule qui allait à la rencontre de celui qui venait face à elle, tout aussi lentement. Si le choc ne fut guère violent, il ramena une Alix perdue à la réalité. Bon dieu, elle allait accoucher. En avance. Sous la tempête, et certainement ici, à la Nouvelle-Orléans, car il n'y avait aucune chance qu'elle atteigne la maison de son frère désormais. 
Heureusement, le conducteur de la voiture qu'elle avait embouti comprit rapidement sa situation et choisit de la conduire  à l'hôpital le plus proche dont elle traversa la porte des urgences épaulées par celui-ci, quelque peu paniquée, surtout que les urgences grouillaient de monde. 
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Sadness flies away on the wings of time.
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#Jeu 22 Aoû - 22:54
- J'ai besoin de tout mon effectif…

Ainsi avait débuté le débriefing. Je sentais mon coeur battre dans ma gorge. Bon j'étais pas stupide, je savais bien qu'ici il y avait la "saisons" des ouragans et visiblement j'avais mon baptême d'ouragans là maintenant. Dans la salle de meeting j'avais les mains croisées sur la table me mordant la lèvre. Je restai attentif alors qu'on nous donnait nos assignations.

- Agent Desrosiers vous irez dans le north, il faudra aider ceux qui vont trouver refuge ailleurs. Faire la circulation entre autre.

Je hochai la tête lentement, c'est con mais en ce moment j'aurais aimé mieux une foutu tempête de neige de la mort qui cloue tout le monde dans leur baraque. Mais bon… ainsi était la Louisiane. On se leva donc et j'allai prendre mes effets et pris mon téléphone pour texter à Anastasia. Ok elle était ici depuis 3 ans mais je tenais à ce qu'elle soit en sûreté. Un simple "Tu te met à l'abri je te contacte aussitôt que je suis libre. Pas de connerie Ananas" Je remis mon téléphone sur le bureau alors que le chef sortit de son bureau en trombe nous sommant de nous magner le cul comme l'ouragan approchait plus vite que prévu.

- Caliss… dis-je dans un québécois bien sonné

- Bienvenue en Louisiane Raffy!

- Mouin…


Alors en route je tentais de lutter contre la nervosité, le coeur qui me tapait si violemment dans ma poitrine alors que l'adrénaline me coulait dans les veines. J'étais devenu flic pour l'action… j'en avais là! Le spectacle qui s'offrit à moi en route fut des lignées de voitures, des arbres qui penchait sous la force du vent et là je ne parle même pas des débris qui volait ou jonchait la route. Aussitôt une place trouvée je me lançai hors de la voiture déjà prêt, l'adrénaline au top. Déjà l'apocalypse! Un arbre tombé en plein milieu de la rue et déjà des blessés.

- RAF! LÀ!


Mon regard suivit le doigt de mon partenaire et je vis des passant bloqué dans une voiture. Je me dirigeai donc vers cette voiture. Un couple de jeune, je dirais début vingtaine, en pleine panique. Le jeune homme tremblait comme pas possible, la jeune femme à demi-consciente et un lacération au crâne vu le sang qui était sur son visage.

- Je suis Rafaël, calmez-vous les secours arrive. Monsieur, que c'est-il passé?


Je vérifiai l'état de la dame alors que le jeune homme était entre les cris, les pleurs et l'urgence que je sorte sa copine. La jeune femme répondait bien quoique bien sonnée. Je tentais d'ouvrir la porte passager pour les faire sortir de là et au moins éloigner se couple de leur carlingue de métal. J'y allais de parole rassurante, ne pas les faire paniquer encore plus. Je leur posai des questions banales du genre, leur métier, où ils allaient, s'ils avaient de la famille enfin on comprend le truc. À peine la porte entre-ouverte que je sentis un coup violent derrière la tête qui me fit voir des étoiles. Mon front tapa sur le toit de la voiture et je lâchai:

- Caliss de tabarnak….que ça fait mal…


-Raf!


Puis…. plus rien, le noir. Je ne sais pas combien de temps je restai dans les vapes mais j'ouvris les yeux et grognai à la lumière… enfin lumière c'est relatif. Ça me brûlait les yeux, j'avais la tête pris dans un étau et on me frappait l'intérieur à la masse. Des questions, trop de questions à la fois.

- Votre nom…


- Ana…

- Euh… votre nom est Ana….

- Non… Rafaël…

- Ok Anna-Rafaël….


J'ouvris un paupière et lui lançai un regard noir.

- Rafaël osti d'cave! Criss d'ambulancier con caliss...


Bon mon québécois lui fit hausser les sourcil. J'étais dans un nuage sombre et aussitôt que je fermai les yeux on me disait de les laisser ouvert. QU'ON ME FOUTE LA PAIX!!! Et je fis donc mon entrée sur un brancard mélangeant passé et présent, où j'étais… enfin on voit le genre… J'entendais à peine le rapport de l'ambulancier et je me dit que ENFIN je pourrais dormir un peu non? Héééé non! On me disait encore de garder les yeux ouvert.

- Hey! Crissez moi la paix viarge!
Anonymous
Invité
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#Ven 23 Aoû - 22:44
Je sais pas si c'est à cause des propos de Gus, ou si les conseils de ma tante ont fait leur chemin. Un peu des deux sans doute. La peur de perdre mes deux trésors, aussi, assurément.

- Ok Maman, je vous rejoins là-bas avec les jumeaux. Par contre je vais devoir rester au poste, mais... Non, je ne prendrai pas trop de risque. Tu sais, je suis ni pompier, ni officier de terrain. Promis, je te tiens au courant. Oui. Oui, moi aussi. A demain.

J'ai bien vu leurs regards inquisiteurs quand je leur ai expliqué qu'ils allaient aller quelques jours avec Mamie et Auntie à la campagne. J'ai beau avoir expliqué que je ne pourrais pas rester parce qu'il fallait que je revienne travailler, j'ai bien senti un certain scepticisme... Mais ils n'ont rien dit. Ils ont rejoint leur grand-mère avec joie, mais si je me suis efforcée de les rassurer autant que possible après la question fatidique "tu reviens quand papa ?", je ne suis pas parfaitement serein.

Donald. C'est un putain de nom comique pour un ouragan qui terrorise toute la région. Ou une ironie grandiose si on songe à notre "cher" président, tiens. Enfin notre... Je suis pas le plus concerné, mais c'est un détail.

Je suis en route pour revenir au poste, et je peste tout seul dans ma voiture sous la pluie déjà battante. D'ordinaire, je mets la radio à fond (ou presque) pour me donner un exutoire, mais les ondes ont pas vraiment décidé de passer. Mon téléphone a plus de réseau depuis de longues minutes déjà, et je m'en veux de pas avoir envoyé un sms à Gus avant : mon écran mentionne désespérément le message "en cours d'envoi" et je me fais plus aucune illusion, il ne l'aura jamais avant que tout soit terminé. Et bordel, j'espère qu'il est en sécurité. C'est con à dire, c'est pas comme si on était un vieux couple ou quoi, d'autant moins vu comme ça c'est terminé la dernière fois, mais... Mais je peux pas nier l'attirance certaine que j'ai pour ce gars, et je sais bien que je me voilerais la face si je voulais croire que ce n'était que physique. Ca vient de là, ça a démarré comme ça, clairement, mais... Mais je sais pas. On se connaît pour ainsi dire pas, pourtant, même si je sais visiblement trop de choses qu'il aurait préféré que j'ignore, et ça n'empêche... Je cherche pas trop à expliquer, je veux pas trop me poser de question, je sais juste comme c'est, mais... Mais je suis pas indifférent, clairement. Et je suis d'autant moins serein, donc.

Et encore moins quand une voiture en face, visiblement en perte de contrôle, vient gaiement percuter la mienne. Presque de plein fouet, mais à petite vitesse fort heureusement, et je m'extirpe de mon véhicule pour voir l'étendue des dégâts. Chez l'autre, surtout : chez moi, ça n'a l'air que de tôle froissée, et ça n'a rien de bien dramatique. La demoiselle en revanche...

- Ok. En ce cas direction la maternité. Venez.

Hors de question d'attendre, encore moins de la laisser conduire, ça va de soi. Demi-tour donc, ma voiture démarre encore, Dieu soit loué, et je prends la direction de l'hôpital, regarde ma montre immédiatement, histoire de pouvoir renseigner les équipes médicales sur l'heure de la perte des eaux.

- Vous avez des contractions ? Vous sauriez dire de combien elles sont espacées ?

On va pas se mentir, les limitations de vitesse, c'est un peu une vue de l'esprit à cet instant. Les présentations ne m'effleurent même pas un instant non plus. Je tente pourtant de ne pas trop m'emporter, histoire d'éviter un autre accrochage avant d'arriver, mais je peux pas nier que le stress monte grandement. Tout était parfaitement normal pour mon épouse, et elle y est quand même restée, alors dans les conditions actuelles, je peux pas vraiment m'empêcher de flipper pour la jeune femme près de moi. Et je m'arrête un peu n'importe comment devant les urgences de l'hôpital, pour la guider à l'intérieur, un bras autour de sa taille, la main dans la sienne, et répétant inlassablement que tout va bien se passer, qu'on va s'occuper d'elle... Mais je sais pas qui je cherche à convaincre vraiment, en réalité...
Anonymous
Invité
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#Sam 24 Aoû - 16:37

Dehors, c'était le chaos total. J’avais techniquement terminer mes heures de services et j’allais rentrer chez moi pour aller me reposer quand on avait eu l’alarme de l’ouragan..Tout avait changé dès ce moment. Je savais qu’il y avait une belle grosse tempête dehors mais je pensais quand même pas que sa aller en venir la! Je reposais cette fichu blouse blanche sur moi histoire de retourner aider. Ils avaient besoin de moi en ce moment je ne pouvais quand même pas tout abandonner! Je quittais la salle de repos en course pour me rendre à l’urgence ou déjà il y avait plein de patient qui arrivais! Certain ne venais que trouver refuge ici , alors que d’autres ont besoin d’une assistance immédiate! Heureusement , je ne suis pas seul au urgence! Je n’y arriverais pas seul,mais la...On devrait s’en sortir..Enfin, souhaitons le! Je commence a regarder quelque personne ,jusque la rien de bien grave heureusement! Une femme arrivait en contraction , bordel….J’ai déjà fait des accouchements mais j’avoue que , pas si souvent non plus! Je regardais une infirmière que j’avais déjà croisé , mais sans plus puisque nous ne sommes pas dans le même département!

Pouvez vous allez voir la demoiselle en contraction? Si besoin je suis tout proche!

J’avais vue ce policier qui venait d’arriver ,blessé à la tête qui ne semblait pas vouloir se calmer et un peu de mon aide ne serait pas de surplus pour les ambulanciers je pense! Je me dirigeais donc vers l’homme qui s'agitait encore.

Monsieur Desrosiers, vous pourrez dormir dès que je vais avoir vérifié que tout vas bien d’accord? Il faut rester calme s’il vous plaît, votre panique ne ferait que faire peur à tout le monde autour!

Desrosiers...Le frère d'Ana? J'espérais réellement que ma jolie demoiselle était en sécurité en ce moment...Mais je devais rester professionnel et calme pour essayer de ne pas empirer la panique des gens!

(c) princessecapricieuse
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Invité
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#Sam 24 Aoû - 17:10
Hospital
Peut-être qu'elle s'était ennuyée au début de sa garde, mais Arianell se reprochait maintenant amèrement d'avoir espéré un peu de travail. Sous ses yeux surpris, la porte des urgences s'ouvrit sur un couple, l'homme portant une femme enceinte et qui semblait sur le point d'accoucher. Arianell dut pâlir un peu, tandis qu'elle essayait de réfléchir à la façon de prendre en charge un accouchement - elle en avait juste vu la théorie en cours, deux ans plus tôt, et connaissait de toute façon mieux les enfants que leurs mères !

Elle les entraîna donc tous les deux vers un brancard, sur lequel elle aida la jeune mère à s'installer. Arianell essaya d'évaluer à la taille du ventre le mois de grossesse, mais elle ne s'y connaissait pas assez pour ce que ce soit concluant. Elle se tourna donc vers le futur père.

« Monsieur ? Votre femme est enceinte de combien de semaines ? Et les contractions se produisent tous les combien ? »

Elle doutait que le couple ait pris le temps de compter les minutes entre deux contractions, surtout en conduisant au milieu de l'ouragan. Elle n'osait imaginer, vu la violence des vents, comment ils avaient pu réussir à venir jusqu'ici sans trop d'encombres.

Elle vit un de ses collègues médecin aller s'occuper d'un policier en tenue dans le box d'à côté, et elle l'entendit de loin râler en québécois. Elle doutait qu'il ait quelque chose de grave, vu ce qu'elle comprenait de ses cris, mais l'homme semblait plutôt amusant.

Elle se reconctra sur le jeune couple devant elle, leur souriant gentiment. Entre le stress de s'occuper d'une situation qui ne relevait normalement pas de ses compétences et les nausées qu'elle ressentait depuis le matin, elle n'avait pas l'impression d'être très fraîche. Mais ses patients n'avaient pas à pâtir de ses problèmes personnels, et elle commença donc à prendre les constances de la future mère tandis qu'elle attendait leurs réponses.
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Alix Grant
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DC : Alix, Megane, Anya, Evelyne, Enola, Caleb, Adaline, Eowyn, Freya-Astrid, Astrée, Maia, Skye, Lexie Age : 31 Lieu de vie : Lakeview, dans une belle maison à étage avec sa fille Occupation : Analyste au NCIS de la Nouvelle-Orléans depuis plusieurs années maintenant. Maman le reste du temps. Statut civil : Veuve depuis le 29.07.2020. Un drame qui l'effrayait et qui a fini par arriver. Une douleur immense en son coeur, un chagrin que rien ne peut réconforter. Maman d'une petite fille de 4 ans, le rayon de soleil de sa vie.
#Dim 25 Aoû - 11:53
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Hospital


A la base, Alix voulait juste quitter la ville pour trouver refuge chez son frère Adam, dans son immense propriété, où elle savait qu'elle serait en sécurité. Et à choisir, elle aurait même préféré accoucher là-bas plutôt qu'à la Nouvelle-Orléans, en plein ouragan. Heureusement pour elle, l'homme dont elle avait embouti la voiture n'était pas du genre à gueuler parce qu'une sale blonde, même si elle ne l'était pas, avait abîmé sa voiture adorée. Non, dès qu'il l'avait vu, il avait compris sa situation, et sa première réaction fut de l'emmener à l'hôpital. Et avec la perte des eaux, Alix n'allait pas dire le contraire. Avec son aide, après avoir saisi son sac de voyage contenant quelques affaires pour elle, elle monta dans sa voiture pour rejoindre les urgences les plus proche.

- Mes contractions ?

Demanda-t-elle en balbutiant. Bordel, elle avait été tellement prit par le stress qu'elle n'avait pas fait attention à cela. Pourtant, elle savait qu'elle devait compter, pour le médecin. Selon ses souvenirs, elle dirait une bonne dizaine de minutes, si ce n'est un peu plus pour le moment. C'était tellement flou.

-Une bonne dizaine de minutes? A vrai dire je sais pas exactement, avec le stress, je... J'ai pas compté. Je pensais à autre chose.

Trop de choses. Et elle se sentait stupide.
Ils arrivèrent rapidement aux urgences, et c'est avec l'aide, du jeune homme dont elle ne connaissait toujours pas la nom qu'elle prit la direction du service. Elle en profita pour se présenter, histoire de ne pas rester dans le flou concernant son sauveur.

- Au fait je m'appelle Alix !

Elle prononça ces mots alors qu'ils franchissaient les portes des urgences, qui étaient déjà bien remplies visiblement. Des blessés ou des réfugiés ? Ca, allait savoir... Néanmoins, toujours soutenue par le brun, elle vit une infirmière arriver vers eux et prendre la parole, faisait tiquer Alix quelques secondes. Mais elle sut se ressaisir rapidement pour répondre aux questions.

- Ce n'est pas mon mari. Et j'en suis à trente sept semaines, enfin presque... Et pour les contractions...

Mais avant de répondre une contraction arriva, la faisant se plier en deux malgré le soutien du jeune homme, une main sur son ventre. La douleur la fit grimacer, mais elle réussit à regarder sa montre pour déterminer le temps.

- Environ neuf minutes apparemment.

Oui, elle avait ressenti la dernière il y a un peu moins de dix minutes, mais avec une montre à aiguille, on ne pouvait être sûre à cent pour cent.
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#Dim 25 Aoû - 23:13
Ma voiture roule encore, et c'est une chance. Nous ne roulions pas vite, ni l'un ni l'autre, fort heureusement. J'ignore si nous aurions pu arriver à temps à l'hôpital dans le cas contraire. Et se retrouver sous le gros de la tempête n'est vraiment, vraiment pas l'idéal pour une femme enceinte.

- Mes contractions ?

Ma question la laisse stupéfaite, et je mets sans grand mal ça sous le coup du stress. Oui Madame, vos contractions, histoire qu'on sache si ça devient vraiment critique, voyez...

- Une bonne dizaine de minutes? A vrai dire je sais pas exactement, avec le stress, je... J'ai pas compté. Je pensais à autre chose.
- Ca je peux comprendre. Bon. La fréquence n'est pas encore descendue en dessous de cinq minutes, c'est déjà une bonne chose...

Signe qu'on devrait avoir le temps d'arriver avant qu'elle ne puisse plus bouger - tout au moins je l'espère. En tous les cas, nous parvenons à l'hôpital, et je m'évertue à la soutenir aussi bien que possible pour en franchir les portes. Dieu que ça me rappelle des souvenirs, et malheureusement pas forcément heureux...

- Au fait je m'appelle Alix !
- C'est vrai, je ne me suis pas présenté, pardon... Moi c'est Nate. Enchanté Alix. Même si on a vu des circonstances plus heureuses.

J'esquisse un sourire, tente de dédramatiser un peu la chose avec le ton de l'humour, mais je crois que le coeur n'y est pas tellement. J'ai trop de craintes et d'angoisses qui se rappellent à mon souvenir pour parvenir à rester serein, quand bien même je sais bien que c'est ce dont elle aurait sans doute le plus besoin. Une infirmière vient à notre rencontre immédiatement, aide la brune à s'y étendre. Bonne chose.

- Monsieur ? Votre femme est enceinte de combien de semaines ? Et les contractions se produisent tous les combien ?

Moment de bug partagé. Tout comme Alix, il me faut une seconde pour réaliser la méprise. Et je n'ai pas le temps d'y répondre, comme mon esprit vagabonde vers mon alliance, et une autre méprise, auprès d'un jeune homme blond. Pourvu qu'il soit à l'abri, c'est ce sur quoi mon cerveau boucle. Il me déteste peut-être bien, mais ça m'importe peu à cet instant, tant qu'il est sauf... Comme mes enfants, et le reste de ma famille, plus loin dans les terres - tout au moins je l'espère.

- Ce n'est pas mon mari. Et j'en suis à trente sept semaines, enfin presque... Et pour les contractions...

Je me fais la réflexion qu'au moins, ce bébé ne sera pas trop prématuré. Guère plus que mes jumeaux. Et j'espère seulement que la mère s'en sortira mieux que mon épouse. Quant à la fréquence des contractions... J'allais répondre quand la future maman s'est tordue de douleur, et mes doigts se referment sur les siens, en signe de soutien muet.

- Environ neuf minutes apparemment.

Je regarde également ma montre, hoche la tête pour confirmer l'information.

- Elles ne se sont pas encore rapprochées davantage, mais nos deux véhicules sont entrés en collision. Je ne crois pas qu'Alix ait été blessée mais étant donné la situation...

Un examen approfondi semble de rigueur, non ? Je suis pas médecin, juste logique. Et je crois bien que je ne serai pas serein tant que je n'aurais pas vu l'enfant et la mère tirés d'affaire. De toute façon, je ne risque pas vraiment de pouvoir sortir avant un moment d'ici, alors je ne compte pas vraiment m'éloigner de la future maman, à défaut de pouvoir me renseigner sur l'intégrité physique d'Angus...
Anonymous
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#Ven 30 Aoû - 2:51
Des fois j'adorais mon métier, aider les gens leur apporter soutien, sécurité une épaule eou une oreille attentive. Mais d'autre fois, comme maintenant, je le détestais. En plus moi qui voulais vraiment aider, être là avec mes coéquipiers je me retrouvais cloué à une civière, la tête qui tournai, l'envie de dormir alors qu'on me disait d'ouvrir les yeux. NON! Je me reposerais, après je serais top pour aller prêter main forte à mes partenaires. J'avais un mal de crâne à me fendre en deux, trop de monde, trop de bruits trop de lumière... trop de tout. Oui je m'agitais, oui je grognai. L'arrivée d'une jeune femme le ventr rond comme un ballon me passa sous le regard et je fronçai les sourcils. Merde... elle allait pas accoucher ici en prime! C'es clair que mon cerveau ne survivrais jamais! Cependant l'arrivé d'un médecin me coupa le contact avec la jeune femme et... probablement son conjoint qui sait?

Je tournai mon regard bleu se porta sur le docteur et... putin il était immense! Aussi immense que large et j'avais intérêt à me calmer si je ne voulais pas que LUI me calme. Bon j'avais vraiment le choix d'abord? Oui je pourrais m'énerver encore plus mais je finirai avec des contentions et.... non je ne voulais pas ça...

- Ok ok je vais me calmer. Mais je dois être sur le terrain dans quelques minutes mon chef m'attend vous comprenez l'ouragan...

L'ouragan! Ana! Je tentais de me lever fouiller mes poches. Mon téléphone, je devais trouver mon téléphone... Il était où merde! Je devais dire à ma soeur de se mettre à l'abri! De se sauver loin dans les terres!

- Doc? Euh... vous avez un téléphone je dois avertir ma soeur de se mettre à l'abri. Elle doit remonter dans les terres... je... juste lui dire que je vais bien sinon Ana va s'inquiéter et je veux pas....

Le cri de la femme à côté me vrilla le cerveau comme mille perceuses. Je fermai les yeux en grognant. PUTIN!!!! Tuez-moi quelqu'un! Rien nous séparait elle et moi et mis à part la douleur qui moi me vrillait le cerveau et elle le corps on partageait pas mal tout je dirais. Je luttais contre une violente nausée qui m'avait pris. Non non... pas ici Raf c'est pas vrai! T'allais pas faire gerber les urgences au complet en prime! Une respiration.... une deuxième....

- Doc ça va pas là....

Troisième respiration.... allons ça va se calmer.... oui oui il fallait que ça se calme.... quatrième....et.... je rendis le contenu de mon estomac entre mon lit et celui de la femme enceinte évitant de justesse les pied du doc...

- Désolé...

Fut dit tou faiblement... sérieusement... je pouvais crever là? Je pense que ça ferais moins mal que présentement.
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#Ven 30 Aoû - 19:07
Hospital
Arianell accompagna la femme enceinte vers un des brancards, se questionnant sur la phrase qu'elle venait de lui dire. "Pas mon mari", parce qu'ils n'étaient pas vraiment en couple ? Elle avait déjà été confronté à ce genre de cas, des gens qui restaient en lien pour élever l'enfant, sans pour autant être en couple. Enfin, ce n'était pas son problème, elle n'était pas là pour juger, juste pour prendre soin de la mère et de l'enfant.

La jeune femme lui apprit d'ailleurs qu'elle en était à presque trente-sept semaines, ce qui rassura l'infirmière. L'enfant ne devait pas avoir trop soucis malgré son avance. L'assurance ne resta que quelques minutes - même s'il y avait beau à craindre du côté du bébé, il fallait quand même qu'elle aide la femme à accoucher, et ça, c'était loin de ses compétences habituelles.

« Neuf minutes ? On a encore un peu de temps devant nous alors » sourit Arianell tout en prenant la tension de la future maman.

Elle jeta un coup d'œil à la petite montre accrochée à sa blouse, relevant l'heure de la contraction actuelle et noter ainsi l'écart réel entre deux. Elle n'était pas sûre que la jeune femme ait pu bien compter, surtout qu'elle n'avait pas de montre sur laquelle regarder, ni son portable dans les mains.

Alors qu'Arianell relevait les chiffres et les notait sur la feuille dédiée, les paroles de l'homme la firent réagir. Leurs voitures s'étaient rencontrées ? Ils n'étaient donc pas ensemble et ce n'était pas le père ? Elle secoua rapidement la tête, devant se concentrer sur la nouvelle information. Les deux conducteurs n'avaient pas dû aller très vite à cause de l'ouragan, mais il fallait quand même qu'ils soient vus par un médecin.

« Je vais aussi prendre vos constantes avant d'appeler le médecin. Si vous êtes tous les deux impliqués dans l'accident, il voudra vous examiner tous les deux » expliqua-t-elle rapidement.

Une fois les chiffres récupérés, Arianell sortit de derrière le rideau permettant d'isoler le brancard de la femme enceinte, à la recherche de Dean Walker, son binôme médecin du jour. Elle le trouva de l'autre côté du rideau, avec le policier canadien dont les insultes l'avaient fait sourire un peu plus tôt. Un œil sur le teint pâle du policier, et elle eut tout juste le temps de se reculer avant qu'il ne vomisse, dans un bruit qui lui donna immédiatement la nausée.

Elle dut inspirer profondément par la bouche, les yeux fermés, pour faire passer la sensation désagréable qui l'avait parcourue et donner envie de vomir à son tour. Elle avait beau être infirmière, elle était très sensible à ce bruit et cette odeur, et même si habituellement, elle arrivait à se contenir quand elle travaillait, ce jour-là, elle était bouleversée par l'ouragan et eut bien du mal à conserver son impassibilité.

« Docteur Walker ? Je peux vous laisser examiner mes patients ? Ils se sont rencontrés dans un léger accident de voiture, rien de grave mais je serai rassurée que vous les voyez » débita-t-elle d'un ton rapide. « Je vais m'occuper de lui. »

Elle alla sortir des haricots en cas de récidive de nausée - que ce soit chez le Canadien ou chez elle, avant de récupérer de quoi nettoyer. Luttant contre la nausée, elle enleva le plus gros du sol, se demandant où était rangé le charriot de ménage des urgences. Un rapide coup d'œil lui apprit qu'au moins, le policier n'avait pas tâché le brancard.

« Vous devriez vous reposer un peu » lui conseilla-t-elle. « Vous ne serez pas bien utile au milieu de l'ouragan là. »
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#Sam 31 Aoû - 14:56

J’avais rapidement pris en charge le jeune policier qui avait eu un coup à la tête, la femme enceinte semblait elle plutôt bien prise en charge pour le moment et il n’y a pas grand chose que je pourrais faire de plus honnêtement! Le policier était encore en mode panique à vouloir faire uniquement ce qu’il avait envi de faire alors je pense que ma présence serait beaucoup plus utile...Heureusement, il semblait se calmer assez rapidement maintenant que j’étais présent.

Je suis désolé de vous l’apprendre Monsieur Desrosiers mais vous ne pourrez pas retourner sur le terrain. Ce coup que vous avez reçu à la tête doit être mieux évalué avant de pouvoir savoir pendant combien de temps vous serez au repos.

Je ne pouvais pas dire la gravité de sa blessure, ni s’il aurait besoin de plusieurs jours ou quoi que ce soit...J’avais encore besoin de faire quelques tests avant d’en savoir plus! Il devenait soudainement plus agité et commençais à fouiller sur lui , essayer de trouver son téléphone..Quand il mentionnait le nom de sa soeur, cette fois plus de doute je savais qui il étais.

Malheureusement, le réseau téléphonique ne fonctionne pas en ce moment...Dès que le tout fonctionnerait on vous laissera utiliser un téléphone.

J’aurais bien aimé lui laisser téléphoner Ana, et j’avoue que j'aurais bien aimé lui parler moi aussi m’assurer que tout allait bien pour elle...Mais je ne pouvais pas. Premièrement parce que les patients ont besoin de moi et que de toute façon, les lignes avais coupé rapidement vue la super température extérieur….. Arianell arrivais vers moi au moment même où le policier nous informait qu’il ne se sentait pas bien, elle eu le temps de reculer que le jeune homme rendais le contenu de son estomac par terre...Bon ce n’est pas nos moments préférés dans les hôpitaux, mais pas le choix de faire avec….

Oh oui j’y vais tout de suite…Monsieur ici doit surtout rester tranquille en attendant de pouvoir passer plus d’examen...Je reviens.

Je me tournais vers l’homme allongé quand même…

Repos et écouter l’infirmière, je ne suis pas loin si elle a besoin.

Je ne voulais pas qu’il profite du fait que je parte pour essayer de se relever! Je lançais un dernier regard a l’infirmière pour m'assurer que tout allais bien avant de me diriger vers la femme enceinte et celui qui l'avait apportée ici.

Bonjour Mademoiselle...Alors, pour commencer comme les contractions n’ont pas l’air de se rapprocher encore pour le moment, j’aurais uniquement besoin de faire une vérification du col! J’irais ensuite rejoindre le gynécologue de garde pour qu’il se tient proche si jamais le travail continue...Ne vous en faites pas, vous êtes entre bonne main ici tout iras bien!

Je voulais me faire rassurant, je comprends que pour la demoiselle ça ne devait pas être très rassurant tout ça! Je m’approchais au moins pour regarder ce que l’infirmière avait vérifié, heureusement la jeune maman ne semblait pas blesser réellement ailleurs...J’allais plus vérifier une fois seul avec elle. Je me tournais ensuite vers le jeune homme voir pour lui…

Pour vous monsieur , avez vous reçu des coups , de la douleur a quelque part? Je dois faire quelque examen à la demoiselle ensuite je viendrais vers vous..Pouvez vous attendre sur le lit, juste?

Je lui pointait le lit en dehors des rideaux...Pas que je voulais le mettre dehors, mais comme de ce que j’ai compris nos deux jeunes gens ici ne se connaissent pas, je ne pense pas que la maman serait très à l’aise de savoir que je dois vérifier le travail avec un inconnu dans la pièce!

(c) princessecapricieuse
Alix Grant
Alix Grant
The Dark Phoenix
Notes remplies : 20438
Faceclaim : Jenna Coleman (@Cinderella)
TC ~ Hospital FXAp
DC : Alix, Megane, Anya, Evelyne, Enola, Caleb, Adaline, Eowyn, Freya-Astrid, Astrée, Maia, Skye, Lexie Age : 31 Lieu de vie : Lakeview, dans une belle maison à étage avec sa fille Occupation : Analyste au NCIS de la Nouvelle-Orléans depuis plusieurs années maintenant. Maman le reste du temps. Statut civil : Veuve depuis le 29.07.2020. Un drame qui l'effrayait et qui a fini par arriver. Une douleur immense en son coeur, un chagrin que rien ne peut réconforter. Maman d'une petite fille de 4 ans, le rayon de soleil de sa vie.
#Dim 1 Sep - 13:35
Storm on New-Orleans
Katrina is back ?

Hospital


Nate. Voilà comme s'appelait son sauveur, enfin si elle pouvait l'appeler ainsi, car avant d'être son sauveur, il est l'homme dont elle a embouti la voiture à cause de la perte des eaux. Il y avait mieux comme rencontre, ce qui n'empêcha Alix de lui répondre.

- Enchanté également ! Et oui comme vous dites, il y a plus heureuses comme circonstances. Mais on n'est pas maître de tout malheureusement !

Elle sourit légérement, tandis qu'ils franchissaient les portes des urgences et étaient pris en charge par une infirmière qui les prit pour un couple, tout en les amenant dans un box. Erreur dont la brune la corrigea rapidement, avant de se poser des questions sur son fiancé, le vrai, Levi, dont elle n'avait aucune nouvelle. Et qui pour le coup n'était même pas au courant qu'elle avait perdu les eaux. Elle aurait bien aimé le prévenir, mais le réseau était HS et elle préférait ne pas y penser, sinon elle allait paniquer. Surtout qu'il était hors de question pour elle d'accoucher sans lui, alors qu'elle n'allait pas avoir le choix.
L'infirmière lui demanda rapidement le temps entre ses contractions, soit neuf minutes pour l'instant, donc autant dire qu'elle n'allait pas accoucher dans l'heure, tandis que Nate signala rapidement leur accrochage, la faisant grimacer. Avec tout ce à quoi elle pensait, elle avait presque oublié cet événement. Tête de linotte comme dirait Levi.

Sans un mot, elle laissa la jeune femme prendre ses constantes avant d'appeler un médecin pour venir les examiner. Médecin qui prit tout de suite la situation bien en charge, tentant de la rassurer à travers ses paroles, ce qui n'empêcha pas la brune de faire une légère pointe d'ironie en l'entendant dire "si jamais le travail continue"

- Etant donné que j'ai perdu les eaux, je pense que le travail ne va pas s'arrêter.

Puis son regard se posa sur Nate que le médecin aiguiller vers le brancard dans le box d'à côté, et hocha la tête en l'entendant. Elle allait pouvoir tenir sans lui le temps de l'examen, bien qu'il est vrai que le jeune homme qui l'avait accompagné représenté comme un point d'ancrage pour le moment, elle qui se retrouvait seule au moment de l'une des plus grandes expériences de sa vie.

- Ca va aller... Et merci Nate...

Lui dit-elle doucement avant qu'il ne la laisse seule avec le médecin qui s'enquit de l'examiner, tandis qu'elle sentait venir une nouvelle contraction. Neuf minutes environ déjà depuis la dernière. Super... La douleur qui venait la faisait grimacer, mais elle garda le silence.

code (c) rainmaker




Sadness flies away on the wings of time.
- When death hurts
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#Lun 2 Sep - 1:42
J'ai un peu serré les dents, j'avoue, quand le médecin m'a plus ou moins viré du côté d'Alix, mais j'ai laissé faire : tant qu'ils la font accoucher sans mal, je n'ai, au fond, pas grand chose à y redire. Je suis pourtant perplexe quand j'entends la voix de l'infirmière revenue auprès d'elle, qui demande à son tour à examiner le col... Ce n'est pas ce qu'il était censé faire, lui ? Je fronce les sourcils, de mon côté du rideau, et reste attentif à la suite, un peu plus inquiet encore que ce n'était déjà le cas.

« Je m’en occupe, essayer de ne pas la laisser seule, elle L’infirmière resteras à vos côté et je suis toujours proche pour la suite. »

Ok, là j'ai l'impression qu'on joue aux chaises musicales, et ça n'est franchement pas pour me rassurer. Je suis nerveux, tiens difficilement en place, et à vrai dire, après avoir regardé pour la énième fois l'écran de mon téléphone - alors que je sais pertinemment qu'il n'y a pas de réseau et que c'est inutile -, je me suis mis à faire les cent pas dans mon box, et au bout de quelques instants, mon regard a croisé celui du médecin, de nouveau au chevet de l'autre homme qui hurle depuis tout à l'heure. Je réprime un soupir à son signe me demandant d'approcher, et m'exécute tout de même, pas vraiment de bon gré, mais sans râler malgré tout.

« Bon pardon de vous avoir fait sortir ainsi tout à l’heure mais pour certain test, c'était mieux ainsi...
- Aucun problème pour ça, Alix a le droit à son intimité.
- Comment est-ce que vous vous sentez? Je sais que c'est paniquant un peu ce qui ce passe dehors aussi, mais vous êtes en sécurité.
- Je n'ai rien, vraiment. Je ne ressens rien de spécial, pas de douleur ni gêne d'aucune sorte. A vrai dire, pour l'instant, je m'inquiète surtout de savoir si la mère et son enfant vont s'en sortir convenablement... »


Je me contrefous d'avoir été mis de côté pour l'auscultation, je pense juste qu'elle est prioritaire à moi, surtout que je ne ressens réellement aucun trouble - ok, je suis pas médecin, mais j'imagine assez bien qu'il puisse y avoir des lésions cachées, seulement je n'ai ni vertige, ni nausée, ni trouble de la vision, ni la moindre douleur nulle part, alors vraiment, qu'on s'occupe réellement de ceux qui en ont besoin.

Et mon angoisse concernant la brune sur le point d'accoucher ne va pas en s'arrangeant quand sa voix s'élève à nouveau.

« Vous allez bien ? »

C'est le monde à l'envers, là, non ?

Et c'est bien l'infirmière que je viens de voir filer à toute allure, là ? Sérieusement ? Je réfléchis même pas une seconde au fait que j'étais en train de parler avec le médecin, je me dirige aussitôt vers le box de la jeune femme que j'ai amenée ici, d'autant plus angoissé qu'elle lâche un cri sous le coup d'une nouvelle contraction.

« Docteur ? Quelqu'un ?
- Docteur non, mais je suis là... »


J'esquisse un sourire qui se veut rassurant et viens prendre sa main dans la mienne.

« Elle était plus forte que les précédentes, celle-là, non ? »

Une constatation plus qu'une réelle question, au fond, tandis que je caresse doucement le dos de sa main du pouce.

« Vous avez suivi la préparation à l'accouchement ? Vous vous souvenez de ce qu'ils vous ont dit ? »

Je cherche moi-même à me remémorer ce dont ils ont pu parler, quand j'ai assisté à ces séances avec Garance. C'était quoi déjà ? Accompagner le mouvement ? Comme une vague qui reflue toujours... et respirer, profondément, pour ne pas se contracter et aviver la douleur. Je crois. Peut-être. Je ne suis pas sûr... Pour ce que ça a aidé ma femme...

« Ca va aller... Je reste là tant que vous voudrez... »

Et si elle préfère rester avec le corps médical pour mettre au monde son enfant, je m'éclipserait, je ne suis qu'un inconnu après tout. Mais tant qu'elle aura besoin de compagnie, hors de question que je quitte son chevet, et je reste complètement halluciné de la façon dont les choses sont en train de se passer.

Même si c'est l'apocalypse dehors et que dans ce genre de circonstances exceptionnelles, en réalité, rien ne se passe comme d'ordinaire...
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#Mar 3 Sep - 17:31
Hospital
Arianell avait beau s'occuper du policier, elle entendant quand même la discussion de l'autre côté du rideau. La future mère avait l'air d'avoir un sacré caractère, si elle en croyait la réponse qu'elle fit au docteur Walker, pleine de répartie. Elle craignait un peu de devoir la faire accoucher, pas sûre de résister à temps d'autorité.

Elle se reprit donc, finissant de nettoyer le sol. L'odeur de vomi semblait lui soulever encore plus le cœur que d'habitude, sûrement parce que l'ouragan la stressait énormément. Elle sentait encore peser sur son estomac le petit déjeuner qu'elle avait pris plusieurs heures plus tôt, plutôt léger pourtant.

Arianell se lava ensuite les mains, frottant bien pour faire disparaître l'odeur qui la poursuivait. Elle revint ensuite vers le policier, son sourire le plus accueillant aux lèvres, espérant qu'il ne voit pas son stress et son visage bien trop pâle.

« Bonjour monsieur ! Je suis Arianell, l'infirmière » se présenta-t-elle tout en commençant à prendre ses constantes.

Elle le regardait avec attention, surveillant qu'il n'ait pas de nouveau envie de vomir. Elle avait évité le jet une première fois, et s'était retenu de rendre le contenu de son estomac, mais les nausées qu'elle éprouvait depuis l'avertissaient qu'elle ne pourrait pas résister une seconde fois.

« N'hésitez pas à m'appeler si vous avez faim ou soif et j'irai vous chercher quelque chose. On va juste attendre quelques minutes, que vous ne vomissiez pas une seconde fois. »

Arianell s'éloigna des brancards, attrapant des dossiers papiers pour compléter les soins qu'elle avait fait à leurs trois patients. C'était étrange pour elle de les écrire sur une feuille, mais l'informatique n'était pas sur le générateur, l'hôpital ayant préféré, et c'était normal, mettre plutôt tout le matériel de réanimation.

Par mesure de précaution, la jeune infirmière alla d'ailleurs allumer une des couveuses, Alix lui ayant dit être tout juste à trente-sept semaines. Normalement, le bébé avait le bon âge pour réussir à gérer sa température, mais le stress de l'accouchement pouvait lui donner besoin d'un petit coup de boost. Elle s'arrangea juste pour que le matériel ne soit pas visible d'Alix, ne voulant pas lui rajouter de pression. Arianell retourna ensuite voir la jeune mère, lui souriant doucement.

« Est-ce que vous m'autorisez à examiner l'ouverture de votre col ? » demanda-t-elle le plus gentiment possible.

Elle avait bien vu qu'Alix n'était pas très disposée à accoucher, seule et dans la tempête, ce qu'elle comprenait tout à fait. Pour autant, le bébé n'allait pas lui laisser le choix, et il fallait qu'elle vérifie où ça en était.
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